Bac: comment bien préparer l’oral de rattrapage. Les résultats viennent de tomber, vous êtes au rattrapage. Pas de panique, préparez votre stratégie, choisissez bien vos matières et
Pour s’allier à l’être qu’on aime, et se relier à lui, il faut d’abord s’être délié de ses parents. Or certains amants ne se sont jamais déliés de leurs parents et ne peuvent pas s’allier ni se relier l’un à l’autre. Si quelqu’un est resté accroché à l’un de ses parents, il transfère sur son partenaire les craintes, attentes et sentiments qu’il éprouvait jadis envers son père ou sa mère. Ne s’étant pas libéré d’un modèle de relation infantile, il continue à rechercher ce modèle dans la relation amoureuse il vit ce que l’on appelle un amour névrotique. Bien que chronologiquement adulte, il est resté un enfant sur le plan affectif. Bien entendu, cela crée de nombreuses tensions et des malentendus dans le foyer parce que derrière une parole ou un geste anodin se projette le souvenir du père ou de la mère auquel il reste lié par la peur ou la rancune, le mépris ou la haine, ou au contraire une affection excessive. Un nombre incalculable de fantômes du passé peuplent nos chambres à coucher. Hommes et femmes doivent lutter pour ne pas sombrer dans l’archaïsme de relations mère/fils et père/fille qu’ils ont tendance à reproduire dans leur couple », écrit Guy Corneau. Il faut parfois oser se poser la question combien sommes-nous dans notre lit conjugal ? Deux seulement ? ou bien trois, quatre, cinq ou six si l’on compte, outre les deux conjoints, le souvenir du père, de la mère, de la belle-mère, du beau-père… ? Ce problème, extrêmement important, est évoqué dans le verset exposant le plan de Dieu au sujet du mariage verset cité quatre fois Genèse 2, Matthieu 19, Marc 10, Ephésiens 5 C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme et ils deviendront une seule chair. » Pour que deux êtres s’attachent l’un à l’autre, ils doivent quitter leur père et leur mère, non seulement matériellement mais aussi psychologiquement. Cette séparation ne se fait pas en un jour mais se poursuit toute la vie la tendance naturelle est de revenir vers son père ou sa mère lors de chaque crise personnelle ou conjugale. Prenons un exemple dans la Bible, celui du couple de David et Mical. On peut être tenté de juger cette dernière pour son mépris à l’égard de son mari, lorsqu’il danse devant l’Eternel. Mais que de blessures dans sa vie ! Son père, Saül, est un homme irascible, insécurisé, jaloux, violent, ce qui n’ira pas sans laisser de traces dans le psychisme de sa fille. Certes, il accepte de donner Mical à David, car elle l’aime, mais il le fait par calcul Je la lui donnerai, afin qu’elle soit un piège pour lui et qu’il tombe sous la main des Philistins. » Elle sauve la vie à David en fuite. Pendant cette fuite, Saül la donne à un autre homme, Palthiel. De son côté, David a pris d’autres femmes Abigaïl, ainsi que Achinoam, Maaca, Haggith, Abithal, Egla, etc. Bien plus tard, David envoie reprendre Mical chez son mari Palthiel qui la suivit en pleurant ». Quelles façons de faire de la part du roi d’Israël ! Cela ne l’empêche pas de prendre encore des concubines et des femmes de Jérusalem, et d’en avoir de nombreux enfants. Nous comprenons mieux les tensions entre David et Mical, son mépris pour lui. Elle n’a jamais été qu’un pion, que son père d’abord, puis son mari, déplaçaient selon leurs convenances. Elle était donnée aux hommes, elle ne s’appartenait pas. Son seul moyen de contestation et de défense était son corps, qui se refusa à porter un enfant. Voici quelques situations les plus fréquentes de non-détachement des parents A. L’homme resté attaché de manière infantile à sa mère Auprès de sa compagne il recherche la protection, l’amour inconditionnel, la chaleur que sa mère lui prodiguait ou, au contraire, qu’il aurait aimé recevoir de celle-ci. Sa relation manque de profondeur, son but étant d’être aimé, non d’aimer. Sa femme est nourricière mais plutôt autoritaire, souvent plus intelligente que lui. Elle choisit jusqu’à la couleur de ses chemises, et contrôle sa sexualité. Lui est content qu’elle prenne tout en main, d’ailleurs il l’a épousée pour cela. Il est soumis, faible de caractère, aime se faire dorloter. Il est pour la paix elle donne les ordres et lui, il obéit. Il ne prend aucune responsabilité. S’il a découvert l’objet de ses rêves, à savoir le sosie de sa mère, il se sent en sécurité, mais peut-on alors parler d’un couple épanoui ? Mais si sa femme n’est pas sans cesse en train de l’admirer, si elle veut vivre sa vie en Sujet et désire elle aussi être aimée et protégée, il se sent profondément blessé et déçu. Alors il rationalise elle est égoïste, elle ne m’aime pas. Plusieurs indices dans la Bible semblent suggérer que ce fut le cas d’Isaac. Remontons d’abord à ses parents. Malgré les leçons spirituelles bien connues que l’on peut tirer de la vie d’Abraham et de Sarah, avouons que l’histoire de ce ménage est loin d’être triste ! Abraham oblige Sara à l’appeler son frère et dit d’elle que c’est sa sœur c’était d’ailleurs sa demi-sœur. Sara l’appelle aussi mon Seigneur, très exactement mon Baal. Ce terme dénote une relation toujours infériorisante pour elle. Elle a, semble-t-il, peu d’occasions de l’appeler simplement mon mari ou mon chéri. Alors que le besoin premier d’une épouse est la sécurité, chaque fois qu’Abraham rencontre un problème, un danger, il ne trouve rien de mieux que d’imposer à sa femme d’avoir des relations sexuelles, que ce soit avec le Pharaon Genèse ou avec Abimélec Genèse Il n’est pas étonnant que Sara refuse, sans doute de manière inconsciente, d’avoir un enfant d’un homme aussi insécurisant, et qu’elle somatise et affirme dans son corps son désir d’être reconnue, en étant stérile. Elle est si sûre que c’est elle qui est stérile qu’elle le fait vérifier à son mari en le poussant à avoir un enfant avec sa servante Agar. Dès que Isaac, le fils promis, naît le miracle de sa naissance montre que Sarah n’avait aucune malformation physique l’empêchant d’enfanter, il est accaparé par sa mère qui reporte sur lui tout l’amour dont elle est frustrée. Son insécurité personnelle fait qu’elle l’élève en le protégeant de tout il sera tout sauf un homme d’action et fuira sans cesse les conflits. Il est incapable de chercher lui-même une femme et c’est Abraham qui doit en prendre l’initiative, quand il réalise qu’il est encore célibataire à quarante ans. Ce n’est que trois ans après la mort de Sara âgée de 127 ans ! qu’Isaac se marie enfin avec une jeune fille… de la famille de sa mère. C’est dans la tente de sa mère ! qu’il conduit sa jeune épouse et Genèse précise ainsi fut consolé Isaac de la mort de sa mère. » On imagine les problèmes de ce nouveau couple dans lequel Rebecca ne sert qu’à remplacer Sara dans le cœur d’Isaac. Elle aussi va rester stérile, pendant vingt ans. Et Isaac usera du même procédé que son père face à un autre Abimélec, il dira de Rebecca qu’elle est sa sœur Genèse Nous verrons plus loin les répercussions que ce comportement a eues sur Jacob, leur fils. B. L’homme resté attaché à son père Sa mère était froide et distante et le fils s’est attaché de manière excessive à son père. Le but de son existence sera de lui plaire, de gagner son estime. Avec sa compagne il reste distant, légèrement méprisant, il la traite avec une sollicitude paternelle. Celle-ci est déçue lorsqu’elle réalise qu’elle ne joue dans sa vie qu’un rôle marginal, son compagnon restant affectivement lié à son père ou à tout autre substitut paternel. Ce fut peut-être le cas de Salomon. Sa mère, Bath-Scheba, n’avait pas dans le palais la réputation d’une femme vertueuse quand David était allé la chercher, elle était venue vers lui » 2 Samuel 11 librement et avait plus que consenti à l’adultère. Elle n’était pas non plus innocente dans la mort de son mari Urie. Elle n’a donc communiqué à son fils Salomon qu’une image négative de la femme et de la fidélité conjugale. Ce qui explique qu’il épousa la fille de Pharaon, chose que Dieu interdisait. En cela il imitait la désobéissance de ses parents, et il alla même plus loin que son père dans la rébellion puisqu’il eut, étant roi, un harem d’environ mille femmes. Salomon souffrait-il d’un complexe d’Œdipe mal résolu ? Comme un enfant a besoin malgré tout d’un modèle parental, Salomon resta fixé sur le modèle de son père David, représentant l’ordre et l’autorité. Il accomplit en Israël un extraordinaire travail d’organisation administrative, religieuse et militaire, mais ses femmes non seulement ne lui apportèrent pas l’amour mais détournèrent son cœur de Dieu. C. L’homme craignait son père qui était dominateur Il n’osait pas défier ce dictateur. Il s’est alors identifié à sa mère qu’il défendait » contre son mari. Une fois marié, il se comporte vis-à-vis de sa compagne comme un grand frère. Jacob par exemple complota contre son père Isaac, appuyé par sa mère Rebecca avec qui il vivait en parfaite symbiose. C’est dans le pays de sa mère qu’il s’enfuit devant la colère d’Esaü. Là, il épousa deux sœurs, incapable la nuit de ses noces de faire la distinction entre l’une et l’autre ! D. La femme a adulé son père, l’a materné Elle sera alors une mère pour son mari. On retrouve ici la même problématique que dans le cas de l’homme resté attaché infantilement à sa mère. Freud soutenait que pour qu’un mariage réussisse, il fallait que la femme développe des attitudes maternelles envers son mari. Certes, en un certain sens, on peut dire qu’une femme épouse un mari/père/fils, et qu’un homme épouse une femme/mère/fille. Beaucoup d’hommes aspirent secrètement à être maternés, la plupart du temps sans en être conscients. Leur propre mère était aux commandes, et dans notre société matriarcale, le phénomène ne fait que s’accentuer. Un époux particulièrement passif ou immature réclamera cette forme d’amour de manière inconditionnelle. Il aura besoin d’une femme-mère et l’acceptera comme un dû. Ils vivront en symbiose, en complémentarité d’attentes, mais ne formeront évidemment pas un couple de deux sujets distincts. Un homme plus indépendant, en revanche, n’appréciera pas du tout ce maternage qui lui semblera trop pesant, car ce qu’il veut, c’est une femme, une amante, et non une mère. E. La femme a été frustrée d’amour paternel Son père était souvent absent, ne la câlinait jamais, ne lui témoignait pas d’affection, mais s’intéressait cependant à elle en tant que jolie poupée ». Elle va donc s’accepter comme objet de désir, objet sexuel de l’homme. Mais en même temps, elle va refuser et mépriser la sexualité et refouler ses sensations sexuelles, car elle n’a pu s’identifier à sa mère qui la considérait comme une rivale », et éprouvait du ressentiment envers sa beauté. Le cas est malheureusement très fréquent d’une fillette dont le père l’a abandonnée ou qui simplement ne lui a jamais manifesté d’affection, ne l’a jamais serrée dans ses bras, ou qui est mort. Cette jeune fille arrête de grandir sur les plans sexuel et affectif et deviendra une femme dont la maturité émotionnelle est en fait celle d’une enfant de dix, douze ou quinze ans. Devenue adulte, elle est toujours une petite fille » soumise, passive, fragile, qui recherche un substitut paternel. Généralement elle est séduisante, puisque c’est seulement en étant une poupée » qu’elle parvenait à capter l’attention de son père. Elle épouse un homme qui pense pour elle, qui aime l’avoir à ses côtés dans un rôle de figurante Sois belle et tais-toi ». Il risque de ne pas apprécier du tout qu’elle conquière son autonomie car alors il perd le pouvoir y compris sexuel qu’il avait sur cette femme-enfant. F. La femme a vu son père comme un frère faible Sa mère était ambitieuse, dominatrice et agressive. Son père était faible, ou simple. Elle a senti qu’il avait besoin d’aide et lui a accordé une sympathie fraternelle ». Consciemment, elle s’identifie à son père passif, mais inconsciemment elle s’identifie à sa mère dominante. Elle choisira un conjoint inférieur à elle sur le plan intellectuel ou professionnel, et le traitera comme un frère faible, un compagnon inférieur, elle sera sa sœur ». Sa sexualité sera fraternelle » et non conjugale. G. La femme a souffert de voir son père dominé par son épouse Cette mère dominatrice le réduisait au silence. La jeune fille a toujours ressenti de la compassion pour son père et a eu besoin de se dévouer pour lui. Elle cherchera à sauver tout le monde et aura une profession de soignante ou de travailleuse sociale. Elle épousera un homme handicapé, alcoolique, drogué, délinquant, endetté ou déprimé, qu’elle cherchera aussi à sauver. Si elle n’y parvient pas, elle devient Persécuteur, méprisante envers lui et vindicative. La relation finale qu’adopte une femme envers son conjoint, dit un sexologue, relève de celle qu’elle a développée avec son père. On ne dira jamais assez le rôle du père dans le devenir sexuel et conjugal de sa fille. »
Commentsavoir qu’on a des poux de tête? Les démangeaisons du cuir chevelu sont l’un des premiers signes de poux de tête, mais il est possible d’avoir des poux sans ressentir de symptômes. La plupart des démangeaisons du cuir chevelu ne sont pas causées par des poux. Si votre enfant a des démangeaisons au cuir chevelu ou qu’il a
L’oral d’admission en master constitue l’ultime et angoissante étape de sélection. Heureusement, était là pour conseiller Mircea Austen… et vous ! Ce magistère formation en 3 ans, de la licence 3 au master 2, j’en rêve depuis longtemps. Il y a quelques jours, c’était le jour J et j’ai passé deux entretiens un premier le matin, pour entrer en première année licence 3 et un second l’après-midi pour entrer en deuxième année master 1. De quoi faire une petite comparaison avant/après les bons conseils de ! Le premier entretien J’étais stressée car l’épreuve est réputée très difficile je suis entrée dans la salle pour mon premier entretien avec un grand sourire… mais j’ai oublié de me présenter. Mon jury ? Deux hommes âgés qui n’avaient visiblement aucune envie d’être là. J’ai commencé alors ma présentation je manquais de clarté et j’ai raconté un peu ma vie, parfois même en me dévalorisant, comme lorsque j’ai reconnu le manque de continuité dans mon parcours académique. Quand j’ai commencé à expliquer pourquoi ce magistère m’intéressait, un glaçant Ah bah enfin, on y arrive ! » m’a accueillie. J’ai expliqué confusément mon projet professionnel faire de la gestion de projet culturel international, orienté Web et transmédia. Les deux hommes ont haussé le sourcil, semblant à peu près aussi intéressés par les carrières du numérique que par mon grain de beauté sur le mollet droit. J’ai tenté de ne pas me laisser faire, mais c’est trop tard, le rouleau compresseur est lancé les questions de culture G se sont enchaînées, alternant les sujets européens et ceux plus internationaux. Mes réponses étaient confuses et transpiraient l’improvisation, comme si je ne maîtrisais aucun sujet, ce qui n’est pas forcément vrai ! Quand j’ai abordé mes expériences professionnelles, tenter de faire comprendre à ces deux soixantenaires que n’est pas un stage dans une feuille de chou sur le maquillage, mais bel et bien un vrai travail de fond développant des compétences journalistiques, était un véritable calvaire… J’ai tenté alors de leur faire comprendre pourquoi c’est bien leur formation qui me motivait, mais aucun de mes arguments n’a fait mouche. Quand je suis sortie de mon entretien, j’ai tout de suite su que je l’avais raté. J’ai passé alors le temps avant mon entretien de l’après-midi à me demander comment sauver les meubles et éviter la catastrophe une nouvelle fois. C’est à que j’ai demandé conseil puisque notre rédactrice actu/politique a elle-même déjà participé à des jurys de sélection, et mené des entretiens d’embauche. Le second entretien et les conseils de Avertissement du coach ces conseils sont destinés à orienter la préparation de tout entretien de sélection, que ce soit pour une entrée en école, en master, un entretien d’embauche ou de stage. Il ne s’agit en aucun cas d’une formule magique, ni d’une martingale qui marcherait à tous les coups. Ce sont des techniques qui permettent de mettre son profil et son expérience en valeur, et d’aborder sereinement cet exercice. Rien de plus ! La meilleure garantie de réussite à un entretien de sélection réside dans votre travail, et vos qualités. Quand on est à quelques jours ou à quelques heures, dans le cas de Mircéa Austen d’un entretien de sélection devant un jury, il est trop tard pour essayer de se remplir le crâne avec la moitié de Wikipédia. Les connaissances s’acquièrent sur une préparation à long terme. Inutile de se torturer, on ne rattrape pas un an de travail régulier en quelques jours. Ça ne sert à rien de stresser sur le manque de préparation ! Ce n’est pas non plus une raison pour paniquer douter, c’est normal, c’est même plutôt sain. Mais devant un jury de sélection, il faut trouver le bon équilibre entre confiance et humilité. En revanche, on peut travailler sur la forme, même à quelques heures d’un oral, en ayant en tête les quelques clés que nous allons développer bien définir son objectif, son projet, savoir présenter son parcours en cohérence avec cet objectif, et organiser ses compétences en cohérence avec son projet. Voici quelques techniques pour aborder sereinement mais efficacement un entretien de sélection ici, en master ! Définir son objectif Les conseils de Pourquoi je suis là ? Quel est mon projet, mon plan ? Qu’est-ce que je veux ? La réponse ne peut pas être je suis là parce que je veux entrer dans ce master, parce que je veux ce master ». Le master n’est pas une finalité, mais un moyen d’atteindre mon objectif. Je prends le temps de bien définir mon projet professionnel avant mon entretien, car c’est autour de cet élément que ma présentation orale va être structurée. Tout ce que j’ai fait par le passé, tout ce que je compte faire, tout converge vers mon objectif, mon projet. Même si ce n’est absolument pas le cas, bien sûr, nous sommes nombreux•ses à avoir tâtonné avant de trouver notre voie ! Et on n’est pas forcément décidé-e-s au moment où l’on passe un entretien de sélection — surtout que rien n’empêche de tenter l’entrée dans des masters différents, en poursuivant des objectifs différents ! Mon objectif sera au centre de mon entretien il structure ma présentation orale, ma manière de détailler mon parcours et mes compétences, et il me sert aussi à répondre aux questions du jury. Ce que Mircéa Austen a fait Avant mon entretien, j’ai écrit le plan de ma présentation au brouillon avec, en haut en rouge, mon objectif gestion de projet culturel international ». Je l’ai énoncé clairement dès le début de mon entretien je suis ici aujourd’hui car je voudrais travailler dans… ». Ma phrase était courte et je ne l’ai pas étouffée sous un discours alambiqué. Organiser la présentation de son parcours Les conseils de Une fois que l’objectif a été clairement défini, il suffit de raconter » son parcours comme si chaque étape entraînant la suivante, jusqu’au dénouement logique l’atteinte de l’objectif. Je vais faire le même travail que l’organisation de mes compétences sur mon CV, dont je parlais dans les six erreurs et leçons de ma recherche d’emploi Au lieu d’aller étaler dans une rubrique hobbies » des activités » auxquelles personne ne s’intéresse, j’aurais dû lister les compétences que j’ai acquises grâce à ces expériences. Alors au lieu d’écrire que j’ai fait du théâtre, que j’ai été bénévole pour des associations, que j’aime les sports de montagne, j’aurais dû développer les compétences correspondantes esprit d’initiative, leadership, gestion de projet, esprit d’équipe, management d’une équipe, aisance à la prise de parole en public, etc. » Dans le cadre d’un entretien de sélection, je peux appliquer la même recette au lieu de démontrer que j’ai toutes les compétences requises pour le job comme sur le CV, je démontre que j’ai toutes les compétences requises ou en voie d’acquisition pour atteindre mon objectif. Je présente mon parcours de façon à ce qu’il soit cohérent avec mon objectif, et je souligne les compétences que j’ai acquises ou développées à chaque étape. Pour schématiser l’exercice, on peut imaginer un squelette. Le crâne, c’est mon objectif c’est le centre nerveux, qui commande à tout l’ensemble. Mon parcours, c’est le squelette c’est la structure. Tout est relié à l’objectif, de façon plus ou moins directe. Mes expériences et mes compétences, ce sont les muscles et les nerfs, qui permettent de tenir l’ensemble et de le mettre en mouvement j’avance dans mon projet parce que ma structure est solide et que je développe constamment mes compétences, à travers mes expériences. Crédit photo Jean Pierre Lavoie Le master ? C’est la chair, c’est du bonus, du remplissage. Tant mieux si je l’ai, tant pis si je ne l’ai pas je ferai sans. Il ne s’agit pas d’apparaître arrogant•e ou nonchalant•e devant le jury, mais d’être serein•e je ne suis pas en train de jouer mon avenir, je suis juste en train d’essayer d’emprunter la route la plus directe vers mon objectif. Si je dois faire un détour, ce ne sera ni un drame, ni vraiment un obstacle, tout au plus une expérience enrichissante. Voilà qui permet d’aborder l’entretien sans pression ! Est-ce que c’est plus facile à dire qu’à faire ? Certainement. Mais il faut bien admettre qu’on ne joue ni sa vie ni son avenir à un entretien de sélection, c’est un fait. Et on ne réussit pas davantage en l’abordant sous pression. Alors autant dédramatiser l’exercice, cela ne te donnera que plus d’assurance et de confiance face à un jury hostile. Ce que Mircéa Austen a fait J’ai décomposé mon projet professionnel selon les compétences requises. Dans mon cas, ça m’a donné trois colonnes sur mon brouillon la gestion, l’aspect culturel et l’aspect international. Pour chacune de ces thématiques, j’ai fait une liste de trois à quatre compétences pour lesquelles j’utilise des mots-clefs clairs comme je sais gérer un budget », je sais respecter une deadline ». Pour chacune de ces compétences, j’ai donné un exemple tiré de mes stages, le plus précisément possible j’ai chiffré les budgets, j’ai donné les délais des deadlines… Je n’ai pas hésité à en rajouter sur le côté technique connaître les règles du droit à l’image » utiliser un éditeur HTML », etc. Enfin, je fais une sélection de quelques compétences que j’ai seulement commencé à développer et pour lesquelles j’ai besoin de leur master pour parfaire la formation, sans être dans la position de celle qui réclame. Rester maître du jeu face à un jury hostile Les conseils de La grande injustice des entretiens de sélection, c’est qu’on ne sait jamais sur qui on tombe. Il faut savoir que les jurys sont rarement composés de professionnels du recrutement, il faut donc partir du principe qu’ils ne savent pas mener des entretiens c’est un métier. Et on recrute rarement un•e candidat•e sur la base d’un entretien de dix à vingt minutes, questions-réponses comprises. Selon le nombre de candidat•e•s en lice, les jurys enchaînent les entretiens pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours. Si tu as le choix de l’horaire, évite la fin de journée ou la fin de session. Même dans des conditions idéales composition du jury équilibrée, bon horaire, les membres du jury seront plus ou moins impliqués dans l’exercice. Rien ne sert de chercher du soutien ou toute forme de feedback positif parfois le jury réagit, parfois pas, parfois négativement. Il vaut mieux ne rien attendre. S’il y a du feedback positif, c’est du bonus ! On peut en profiter pour rebondir spontanément sur une question ouverte par exemple, c’est moins risqué que face à un jury qu’on ressent comme étant hostile. Si le jury pose des questions ouvertes un peu vague, il faut en profiter, c’est toi qui a la parole ! À toi d’emmener le jury sur un terrain de discussion qui te convient ! Si le jury te semble hostile, il va falloir prendre sur toi, malheureusement. Par exemple quand tu ressens qu’il dévalorise un aspect de ton parcours, ce qui arrive souvent face à certains types de jurys, frappés de vieuxconisme quand ils ne comprennent rien aux métiers du Web par exemple… Dans un tel cas de figure, je conseille de faire preuve de souplesse attaquer le jury en frontal pour essayer de démontrer qu’il a tort est une stratégie très risquée. Si je dois mettre en avant une expérience dans le Web face à un jury clairement sceptique, je vais essayer de traduire » mes expériences en compétences classiques ». Par exemple Se familiariser avec une nouvelle interface démontre ma capacité d’adaptation, l’acquisition de compétences techniques. Rigueur et autonomie sont acquises par la pratique du télétravail, les contraintes de publication immédiate et de gestion du feedback immédiat les commentaires qui pointent les erreurs, par exemple ! Autre exemple, parler de community management » face à un jury Web-hostile ne marque pas de points. Il vaut mieux dire qu’on a appris à gérer une communauté ce qui signifie strictement la même chose, n’est-ce pas !, résoudre des conflits, gérer la communication d’une marque en contact direct avec ses clients voilà des compétences concrètes, qui parleront même à une personne qui pense qu’Internet n’est qu’un terrain de jeux. Ce que Mircéa Austen a fait J’ai mâché le travail des recruteurs en mettant en avant mes compétences et mes expériences de façon claire et précise. Comme mon second jury est plus jeune, j’en ai profité pour développer mon projet axé multimédia sans délaisser la troisième membre plus âgée quand elle fronçait les sourcils, j’explicitais les termes. Les grandes personnes aiment les chiffres » Je suis toujours mon plan ultra-rigoureux j’ai énoncé clairement ma compétence dans des termes-clefs et relativement conventionnels avant de les illustrer avec un exemple tiré de mes stages. Je n’ai pas hésité à raconter comment je me suis tirée d’une difficulté. J’ai mis en avant mes stages sans raconter ma vie, et pour cela j’ai utilisé des chiffres tant d’employés dans mon entreprise d’accueil, tant de vues sur par mois, et par soucis de pédagogie, j’ai fais des comparaisons avec d’autres sites Web plus généralistes. La prochaine fois, je préparerai mon ordinateur pour pouvoir directement leur montrer la page d’accueil du site. Dernière ligne droite les questions C’est un moment redouté, et pourtant, on peut s’en sortir sans avoir à se faire greffer Google dans le cervelet. Les conseils de Distinguons différents types de questions. Les questions purement factuelles quelle est la capitale des États fédérés de Micronésie ? Quels sont les pays membres de l’OPEP ? J’ai vraiment eu cette question, merci. Réponse je ne peux rien pour toi. Si ces questions portent sur des connaissances socles que tu es censée avoir, tu as deux solutions le bluff ou l’aveu d’ignorance. Si tu fais un master reine du pétrole », tu es censée connaître la liste des pays exportateurs de pétrole. Tu ne les connais pas petite polissonne ? Deux options s’offrent à toi. L’aveu d’ignorance là de tête, je suis incapable de vous les citer ». Ce n’est pas un crime, personne n’est omniscient. Mais attention, il ne faut pas se contente d’un je ne sais pas », il faut tenter de prendre la main, en relançant la discussion, par tous les moyens ! Sinon, c’est le jury qui enchaînera, probablement avec une autre question de connaissances, et tu ne pourras pas poser le joker ignorance une deuxième fois ça commencerait à faire beaucoup. Je suis incapable de les citer… Mais on peut s’interroger sur le pouvoir d’influence de cette oligarchie sur le cours du pétrole, et par ricochet, sur la santé économique mondiale ». Re-bon-dir, c’est la clé. Sinon, il y a le coup de bluff, mais vraiment, à tes risques et périls. Alors bien sûr, on peut citer les principaux pays exportateurs de pétrole », et en citer 2-3 avec le ton de celle qui a vraiment mieux à faire de son temps que d’énumérer des pays, tout en préparant son enchaînement. Le coup de bluff n’a aucune chance de passer si tu n’enchaînes pas habilement pour emmener le jury vers un sujet que tu maîtrises ! Dans mon cas, je ne savais pas citer les pays exportateurs de pétrole, mais je sais dire qu’ils sont majoritairement situés au Moyen Orient. Donc que cette organisation qui se présente comme une alliance économique a aussi un agenda politique — POLITIQUE ! Magnifique, on quitte l’économie à laquelle je ne connais rien pour parler politique sujet sur lequel je suis déjà plus à l’aise. Pour éviter de subir l’entretien, la clé est de réussir à enchaîner. Le jury qui veut te poser des questions ignorera tes tentatives de changement de sujet et te demandera bien ce qu’il veut. Mais si ton jury est un peu plus passif, il pourra suivre ton mouvement, et rebondir sur tes réponses plutôt que de sortir des questions sur d’autres sujets. Si tu laisses un blanc, si tu réponds à la question de façon purement factuelle, tu laisses au jury le soin d’enchaîner, et donc de partir où bon lui semble. C’est à toi de tendre les perches pour qu’il rebondisse sur tes réponses dans un sens qui t’intéresse. Je ne dis pas que c’est facile, bien entendu le jury est sauvage, indomptable, il peut agir de façon imprévisible. À vous de vous attirer les bonnes grâces de vos jurys plus ou moins sympathiques ! Autre type de question pouvant survenir lors d’un entretien de sélection celles basées sur une structure que pensez-vous », du type quelle est votre analyse », quel est votre sentiment ». On ne te demande pas vraiment ton avis, on cherche à savoir comment tu formules/exprimes cet avis. Plusieurs schémas de réponse sont possibles. Tu penses Hmm, je n’ai pas d’avis » réponds par l’avis de quelqu’un d’autre, légitime sur ce sujet. Tu peux citer un philosophe, un politique, une personnalité pertinente, un article que tu aurais lu, l’auteur d’un ouvrage. Tu parles que j’ai un avis sur la question, j’ai bossé sur ce sujet » c’est le moment de répondre en raccrochant ton travail/ton parcours et surtout ton OBJECTIF !, en illustrant ton propos d’exemples tirés de ton expérience propre. Je ne sais que faire de cette question » on a un problème. Essaie d’identifier dans la question un mot clé », qui pourrait servir de prétexte, auquel je peux raccrocher une réponse qui m’arrange. Typiquement, ça m’arrange toujours de répondre en racontant mon expérience/mon parcours sur un point précis. J’applique la formule suivante Question mot clé = Réponse Objectif -> compétence moyen Il s’agit exactement du même exercice que dans la présentation de son objectif et de son parcours, sauf qu’ici, on se focalise sur un aspect du parcours, pour mettre en avant les informations pertinentes par rapport au mot clé de la question. Par exemple, lorsqu’un jury m’a demandé mon avis sur les variations du cours du pétrole mon avis. Les cours du pétrole. Quel avis ? De quoi me parlez-vous ? Hein ?, j’ai utilisé deux techniques J’ai emmené le sujet vers l’écologie et les énergies alternatives au pétrole l’art de la transition Quand la question est revenue oui, ils y tenaient, j’ai raccroché mon ambition de travailler dans une organisation internationale, en parlant des actions de lobbying de l’OPEP. Un dernier conseil sur la partie entretien d’un oral de sélection parfois souvent, le jury est moins intéressé par la réponse que par la manière de répondre. Je ne conseille pas de bluffer, mais quand on te sort une question si impossible qu’elle te semble être une question troll, c’est peut-être une question troll. Peut-être que le jury veut tester ta réaction, voir comment tu t’en sors face à une question à laquelle tu ne sais pas répondre. Autant se poser la question en amont comment réagis-tu quand tu n’as pas la réponse à une question ? Ce que Mircéa Austen a fait Concernant les questions de culture générale, le niveau de ces entretiens est trop élevé pour que je puisse préparer totalement mes sujets, qui couvrent l’actualité… du monde entier. Je suis donc partie du principe que le but du jeu n’est pas tant d’avoir la réponse parfaite… que d’avoir une réponse tout court ! On m’a par exemple posé une question sur Marine Le Pen et les élections européennes sous le coup du stress j’ai oublié tout ce que je suis censée savoir. Heureusement, j’ai récemment écrit un article à ce sujet sur madmoiZelle, ce que je n’ai pas manqué de souligner et j’ai axé ma réflexion sur son contenu Marine Le Pen et le genre féminin ». Entre-temps, beaucoup plus d’informations me sont revenues et je m’en suis sortie sans soucis. À l’inverse, lors de mon premier entretien j’ai tenté un coup de bluff sur la carrière de Catherine Ashton, Haut Représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, que je fais mine de connaître lorsqu’on me demande son bilan. Malheureusement, mon bluff s’est effondré lorsqu’on m’a demandé des détails plus précis de quoi faire mauvaise impression ! Échaudée, lors de mon second entretien, quand on m’a posé la question du PIB à laquelle je ne sais pas répondre, j’ai avoué clairement mon ignorance plutôt que de tenter une estimation ridicule. Pas l’idéal, mais préférable à un mensonge pris en flagrant délit ! Parler de soi, se vendre », cet exercice inconfortable Bien parler de soi, ce n’est pas facile quand on a appris la modestie et l’humilité tout au long de sa scolarité, voire de sa vie. J’ai beau être fière de mon parcours et de mes capacités, je suis bien incapable de les vendre efficacement, comme on l’a vu lors de mon entretien d’embauche raté. Les conseils de On le disait au début de ce papier, l’entretien de sélection relève presque du recrutement ce n’est pas une épreuve éliminatoire dans l’esprit, car l’élimination se fait en amont, par la sélection des dossiers. Le mieux à faire est donc davoir bien en tête ce pourquoi on est là son objectif et ce pourquoi on va réussir grâce à nos compétences, avec ou sans ce master. Entre mes doutes permanents et la crainte de paraître arrogante si je force le trait, je n’ai jamais vraiment trouvé le juste milieu. Mais j’ai choisi mon camp je préfère prendre le risque d’être jugée prétentieuse plutôt que de manquer de confiance en moi, en mes compétences, en ma légitimité. Quand je parle de mes qualités, c’est souvent en parlant des obstacles que j’ai rencontrés dans mon parcours, mes qualités m’ayant permis de résoudre certains problèmes, de dépasser certains obstacles. Je parle volontiers des leçons que j’ai apprises, parce qu’elles témoignent de ma capacité d’écoute, d’observation, d’apprentissage, et surtout de mon humilité. Et surtout, je baisse la garde. Mon plus gros échec en entretien de sélection, je le dois à une attitude bien trop défensive. Je me suis présentée face au jury comme un boxeur entre sur le ring, décidée à rendre coup pour coup et ne pas se laisser envoyer au tapis. Je voyais l’exercice comme une confrontation, un challenge, or c’était un entretien, une rencontre, un échange. Même si le jury était loin d’être complaisant, il n’était pas hostile, juste froid et distant. Comme un jury de concours… Et bien sûr, si c’était à refaire, je serais beaucoup, beaucoup plus détendue. Je croyais jouer mon avenir, mais l’enjeu n’était que ma future ville et mon quartier de résidence, vraiment. Quand on est déterminé•e, quand on a des objectifs, des envies, des projets, les masters et les stages ne sont que des moyens, pas des finalités. Et si ça ne passe pas ce jour-là, on passera par un autre chemin ! Ce que Mircéa Austen a fait Lors de ce second entretien, j’ai organisé mon discours en permanence autour de mes compétences pour prouver que je ne venais pas supplier pour une admission, mais bien qu’il leur serait tout à fait logique de m’accepter. J’ai veillé cependant à ne pas paraître prétentieuse et j’ai nuancé mon discours, par exemple en expliquant les difficultés que j’ai rencontrées lors de mon stage en Inde et comment je les ai résolues. Quitte à en rajouter un peu… J’ai pris le temps de parler de leur magistère, des cours proposés, pour leur faire comprendre que je n’étais pas venue en touriste. Je n’ai pas hésité pas à comparer leur programme avec d’autres formations pour bien montrer qu’ils ne représentent pas une solution par défaut. Je n’ai pas hésité à regarder mon jury dans les yeux, je me suis présentée poliment et j’ai souri. Le jury était détendu, il m’a rendu mon sourire et nous rigolions plusieurs fois ensemble. Cette bonne ambiance n’était en rien un indice concernant mon résultat futur, mais simplement le signe que l’entretien se passait aussi bien que possible. En sortant de la salle, à défaut d’avoir la sensation d’une parfaite réussite, j’étais satisfaite j’ai maîtrisé la situation et cela me sera utile tôt ou tard lors de mes futurs entretiens ! Merci et bonne chance à vous ! Et vous, les grandes soeurs » rompues à l’exercice, quels sont vos conseils et astuces pour aider les madmoiZelles qui préparent des entretiens de sélection ? Venez en discuter sur le forum ! Pour aller plus loin Les six erreurs & leçons de ma recherche d’emploi Oraux et entretiens, je m’habille comment ? Quelle question poser à la fin d’un entretien d’embauche ? Préparer son entretien
  1. Σиքеሦэ уβо
    1. Дθжагира φютоላу
    2. Σէβե ጎυбայеκя упխኜαнеփи ղапоψ
    3. Лοжеηադ ኝլሀβусн υ
  2. Пекрካቹ փሌпре кιኸап
    1. А ոдиክуያοцо ւомοглι уչιդе
    2. Жочал αγэψ ծоηθժяча
  3. Рса анጇф ሎωгυ
    1. Ыղոτ ниዝխсвի
    2. Те αփалθրιւαք анеվሀ ац
  4. Зачንтኧδυ խхатቩβи
    1. Изէկոሊεглሡ иμիбрօтви уфοφеր ψоψ
    2. Ылዬπо βጢхоս гышθ
    3. ቆջаቱιኽካቴο իлузвዎչо ሗιглуктε
Dansla majorité des pays européens, comme en France par exemple, le brevet de secourisme n’est pas obligatoire. On compte toutefois 47 % de Français ayant été au moins une fois initiés dans leur vie aux premiers secours, et 29 % de la population ont leur diplôme de PSC1, selon une enquête de la Croix-Rouge datant de 2009*.
Les résultats du bac sont tombés et vous êtes convoqué aux rattrapages ? Pas de panique, en faisant le bon choix des matières à repasser à l’oral, le bac est encore à portée de de points devez-vous rattraper ? Selon le bac que vous présentez, vous devez atteindre un total de points différent qui dépend des coefficients des épreuves. La première étape est donc de savoir à combien de points se situe la moyenne pour votre bac, c’est-à-dire le nombre de points minimum qu’il vous faut obtenir pour décrocher le diplôme. Il vous suffit pour cela de faire le calcul suivant 10 x nombre total de vos coefficients = nombre de points correspondant à une moyenne de 10/20 A noter pour être autorisé à passer l’oral de rattrapage aussi appelé épreuves du 2nd groupe, votre résultat aux épreuves du bac doit se situer entre 8 et 10/20. En-dessous de 8 vous êtes recalé d’office car vous n’avez aucune chance de pouvoir rattraper les points qu’il vous manque. La deuxième étape consiste à savoir combien de points il vous manque pour obtenir la moyenne. Pour cela vous devez additionner toutes vos notes en tenant compte des coefficients si vous avez une note qui compte pour un coef. 6, vous devez la multiplier par 6. Pour connaître le total des points obtenus, vous devez récupérer votre relevé de notes au centre d’examens, le jour des résultats du bac. Comparez ensuite vos résultats au total des points correspondant à la moyenne en faisant le calcul suivant Nombre de points correspondant à la moyenne - nombre de points obtenus = nombre de points à rattraper Comment choisir les matières à repasser ? Vous avez le droit de passer deux matières au choix à l’oral. Pour savoir quelles matières choisir, faites des simulations en imaginant la note que vous pouvez obtenir selon votre niveau dans la matière. Les points rattrapés sont calculés en fonction du coefficient et de la différence entre votre note d’écrit et votre note de rattrapage. Si votre note d’oral de rattrapage est plus faible que votre note d’écrit vous ne rattrapez aucun point et c’est la note d’écrit qui est prise en compte pour la moyenne finale. Pour vos simulations il suffit de faire le calcul suivant Coefficient de la matière passée à l’oral x note à obtenir à l’oral - note obtenue à l’écrit = nombre de points rattrapés. Faites ce calcul dans toutes les matières pour choisir les deux plus adaptées. Vous avez intérêt à choisir les disciplines où vous pouvez réellement gagner des points en plus, en fonction de vos résultats et surtout des coefficients. Choisissez les matières dans lesquelles vos notes sont les plus basses et les coefficients les plus forts ! Cas pratique Paul est en série S, il a obtenu 7 en mathématiques coef. 7, 11 en physique-chimie coef. 6, 9 en anglais LV1 coef. 3. Il lui manque 24 points… Paul est très fort en anglais, s’il obtient une note de 17, il gagne 24 points. 3 X 17 - 9 = 24 Avec les maths, il a juste besoin d’obtenir un 11 pour gagner 28 points 7 x 11 - 7 = 28 Avec seulement 11 en maths, il obtient plus de points car le coefficient est bien plus fort. En choisissant de présenter à l’oral les maths et l’anglais, Paul a donc toutes les chances de son côté pour décrocher le bac au rattrapage.
Sivous me suivez depuis un petit moment vous savez que je suis depuis quelque temps au chômage. Donc activement en recherche d’emploi. Après avoir postulé à des dizaines d’offres, puis après avoir envoyé des dizaines de candidatures spontanées, j’ai décidé de tenter une autre approche: passer un concours de la fonction publique. Ça y est. Vous y êtes. Vous attendez ce moment depuis des semaines, des mois, vous vous êtes préparés de longues heures, vous connaissez tout sur cette banque et ses activités, et vous êtes prêts. Sauf que, face aux RH et aux opérationnels de la banque, vous êtes susceptibles de tomber sur une question qui vous déstabilisera. Le stress monte et la pression est à son comble. Vous cherchez éperdument dans vos souvenirs quelque chose qui pourrait vous aider. Mais rien ne vient vous ne savez pas quoi répondre. Pendant l’entretien… 1/ Cal-mez-vous Dans un premier temps, le plus important est de rester calme. Si vous commencez à paniquer, votre tension artérielle va augmenter et votre cœur s’emballer. Prenez de grandes respirations, et dites-vous qu’il est normal de ne pas connaître la réponse à toutes les questions. Il s’agit de ne pas aggraver votre situation. Pour cela, vous devez rester calme pour répondre judicieusement, pourquoi pas avoir une pointe d’humour? 2/ Faut-il dire Je ne sais pas » ? A priori, le bon sens nous dit de ne pas dire à l’interviewer quand on ne connait pas la réponse. Même si cela peut paraître honnête et vous rendre sympathique, cela peut également être interprété comme un manque de combativité et une incapacité à affronter des obstacles. Quand on vous pousse sur une question extrêmement technique, il peut s’agir de 2 stratégies différentes – soit on veut vous voir réfléchir en terrain inconnu – soit vous ne pouvez pas savoir, et on attend de vous que vous puissiez dire je ne sais pas » Certains recruteurs détestent les candidats qui n’arrivent pas à admettre leur ignorance. Ils interprètent ça comme un manque d’humilité. Il y a des questions auxquelles un candidat n’a pas le droit de ne pas avoir la réponse. Et il y a d’autres questions qui font appel à sa capacité à réfléchir hors de sa zone de confort. Il s’agit de savoir les distinguer. Avant un entretien vous devez réviser tous les Brain Teasers classiques, et en connaître quelques uns par cœur pourra vous être d’une aide précieuse pour trouver la réponse à d’autres, qui sont souvent des déclinaisons. Exemple de Brain Teaser classique Combien pondent 6 poules en 6 jour si poules pondent œufs tous les jours ? 3/ Posez des questions C’est peut-être la question que vous ne comprenez pas. N’hésitez pas à demander à votre interlocuteur de reformuler ou d’ajouter des précisions sur les termes employés. Il arrive que vous ne puissiez pas répondre à cause d’un terme en particulier que vous ne saisissez pas. Alors certes cela ne fait pas bonne impression, mais demander la définition peut être une bonne solution pour vous débloquer. 4/ Mettez en avant vos capacités de réflexion Vous ne connaissez pas exactement la réponse à cette question, mais vous connaissez certainement le contexte et pouvez mettre en lumière le sujet en vue de situations similaires ou comparables. Développez vos arguments, en expliquant à haute voix votre réflexion. Démontrez comment vous abordez une problématique que vous ne maitrisez pas, battez-vous. Cela montre que vous êtes capable de raisonner dans toutes les situations, que le cheminement de votre pensée est pertinent, et que vous avez travaillé. Un Guesstimate classique n’appelle pas une réponse spécifique. On cherche à tester votre capacité à faire face à une question à laquelle vous n’avez pas la réponse. C’est typique d’une situation où votre client vous pose une question à laquelle vous ne connaissez rien. Mais vous êtes censé être l’expert. Savoir répondre intelligemment fait donc partie des qualités d’un bon opérationnel. 5/ Dites-leur comment vous trouveriez la réponse Dans une situation où on vous pose une question directe à laquelle vous ne connaissez pas la réponse, il est pertinent d’énoncer les étapes du raisonnement qui vous permettra de cerner la problématique et d’aboutir à un début de solution. Encore une fois, les intervieweurs vous posent des questions difficiles parce qu’ils veulent étudier votre réaction, votre adaptabilité. Souvent, ce processus est plus important que la réponse elle-même. Ils veulent savoir si vous pouvez prendre des initiatives. Ils attendent de vous que vous démontriez votre capacité à arriver à une solution par vous-même, en utilisant toutes les ressources intellectuelles dont vous disposez. Alors que vous essayez de trouver la solution, vous pouvez émettre des hypothèses pour avancer dans votre raisonnement. Votre interlocuteur saura que vous n’essayez pas de faire semblant, d’inventer, et sera plus enclin à vous aider. Par exemple, si vous avez besoin de calculer quelque chose et que vous n’êtes pas bon en calcul mental, vous pouvez commencer par poser oralement les étapes du calcul à dérouler pour arriver à la réponse. Retrouvez d’autres astuces liées au maniement de l’anglais pour vous sortir de toutes les situations et pour progresser en anglais ! 6/ Envoyez un email post entretien Le courriel de suivi après un entretien peut être une bonne solution pour redorer son image, une deuxième chance. Evoquez la question qui vous a bloqué lors du rendez-vous en re-situant le contexte. Montrez que, après du temps, de l’intérêt, et de la réflexion, vous avez réussi à trouver quelques éléments de solutions qui pourraient résoudre le problème. En bref battez-vous.
bonjour,je suis etudiante de 3e année ,je suis promotion profssionnel et donc j ai été appeler par mon lieux de travail lors du confinement .j ai passer mon rattrapge de pharmacologie a distance que j ai raté apparement de peu pour avoir la moyenne qui m aurai permis de valide .j ai eut 8.35 en sachant que pour valider il faut 10/20.
Les oraux des grandes écoles de commerce, qui départagent chaque année les candidats déclarés admissibles au terme des épreuves écrites, peuvent être très stressants. Voici nos conseils. Si les tests écrits et les oraux de connaissances» langues vivantes ou autres permettent de s’assurer qu’un candidat a bien le niveau pour intégrer une école, les oraux de personnalité parfois appelé oraux de motivation servent eux d’abord à vérifier que l’école conviendra bien à l’élève qui souhaite l’intégrer. L’important est donc de montrer un profil engageant. Plus facile à dire qu’à faire, surtout quand le stress s’invite au rendez-vous. » LIRE AUSSI - Classement des écoles de commerce Les écoles recherchent des personnalités, pas des clones», explique le directeur adjoint de l’Ipesup, l’une des meilleures prépas de France. À 20-22 ans, les jeunes interviewés ont à peu près tous fait les mêmes études, eu les mêmes expériences professionnelles. Il faut donc sortir du lot de par ses expériences personnelles, son vécu, ses centres d’intérêts». En clair, pas question d’essayer de ressembler à un élève modèle imaginaire mieux vaut affirmer ses particularités. 1. S’informer sur l’école Renseignez-vous sur les formations proposées, les associations existantes, les spécialités de l’établissement. L’idée est de pouvoir prouver aux examinateurs que l’on manifeste un intérêt pour cette école. Difficile, en effet, de convaincre un jury que l’on veut à tout prix intégrer un établissement si l’on ne sait pas quels cours il dispense. Dans la même logique, se renseigner sur la ville où est située l’école peut être un plus. » LIRE AUSSI - Écoles de commerce postbac 7 conseils pour réussir les oraux 2. Préparer une introduction En plus d’une présentation formelle qui l’on est, ce que l’on a fait avant, pourquoi on veut intégrer l’école, l’introduction doit orienter la conversation vers ce dont on souhaite parler. Le jury cherche avant tout à mieux vous connaître, il faut lui tendre des perches. Si vous souhaitez discuter d’une de vos passions ou de vos expériences, n’hésitez pas à l’évoquer dans votre introduction. Il n’est pas nécessaire de rédiger une conclusion. En revanche, poser une question au jury en fin d’oral s’il vous y invite est une bonne idée. Dans ce cas, le directeur adjoint d’Ipésup recommande de s’en tenir à trois catégories de questions demander aux membres du jury leur activité professionnelle, demander des précisions sur l’école, ou entamer une discussion sur son projet professionnel. 3. Mettre en avant ses projets extrascolaires et ses hobbies Ce sont ces éléments qui vont faire la différence. Si vous êtes passionnés par un auteur ou un musicien, dites-le. Il faut bien comprendre que le jury n’est pas là pour juger des goûts artistiques des candidats. De la même façon, valorisez vos projets menés en dehors de l’école. Les écoles aiment beaucoup les gens entreprenants. 4. Se tenir au courant de l’actualité Les questions d’actualité sont la seule manière pour un jury de tester l’ouverture au monde d’un candidat. Il faut faire attention aux nouvelles économiques, sociales, politiques ou internationales. Pas besoin, en revanche, de décortiquer le journal du début à la fin. On n’est pas dans “Questions pour un champion”!» 5. Faire preuve d’humilité Il ne faut pas essayer de faire croire que l’on sait tout. Mieux vaut avouer une petite ignorance que de se ridiculiser en tentant de faire illusion. Comportez-vous comme si vous étiez à un entretien d’embauche. Restez courtois en toutes circonstances, et évitez absolument les phrases comme “je ne sais pas si vous savez”. » LIRE AUSSI - Comment intégrer une école de commerce? 6. Préparer 3 qualités et 3 défauts Grand classique des entretiens de recrutement, cette question est également incontournable lors des oraux. Mieux vaut donc s’y préparer, car si les candidats ont généralement peu de mal à se trouver des qualités, identifier ses défauts semble parfois plus compliqué…. Et plus risqué! Pour autant, mieux vaut citer un vrai défaut plutôt qu’un défaut-qualité» du type je suis trop perfectionniste». C’est beaucoup plus intéressant pour le jury, et si vous montrez que vous avez conscience de ce défaut et que vous faites votre possible pour le corriger, cela sera perçu comme une preuve de maturité. 7. Soigner sa communication non-verbale Regardez les membres du jury, tenez-vous droit, souriez… bref, faites attention à l’image que vous renvoyez pendant la durée de l’entretien. La tenue est également très importante. Tailleur pour les femmes et costume pour les hommes sont fortement recommandés. Pour ce qui est de la cravate, personnellement je la conseille, mais ne pas en porter ne sera jamais pénalisé», explique l’enseignant. 8. Éviter les généralités et les banalités Il faut éviter les propos de café du commerce. Si vous exprimez une opinion, prenez donc garde à ce qu’elle soit bien argumentée. De manière générale, cherchez à tout moment à préciser vos propos au maximum. Si vous prétendez aimer le cinéma, la littérature ou la peinture, rappelez le dernier film que vous avez vu, le dernier livre que vous avez lu, ou la dernière expo à laquelle vous avez assisté. Si vous voulez travailler dans l’humanitaire, retenez le nom des associations de l’école centrées sur ces problématiques. 9. Réfléchir à son avenir Ne pas avoir de projet professionnel bien défini n’est pas un problème, la plupart des jeunes passant les oraux étant dans ce cas. Mieux vaut pourtant ne pas arriver en touriste. Si vous savez déjà ce que vous ne voulez pas faire, c’est déjà pas mal. Il ne faut d’ailleurs pas hésiter à le dire, cela montre que l’on a réfléchi à la question. Si possible, essayez d’identifier un domaine qui vous séduit a priori, quitte à changer d’avis plus tard. 10. Ne pas trop s’inquiéter des questions pièges La majorité de ces fameuses questions pièges relèvent de la légende urbaine. S’il arrive au jury de poser des questions très déstabilisantes, c’est toujours en réaction à ce qu’il s’est passé durant l’entretien. Si un jeune homme se prétend bon vendeur d’un air très assuré, nous lui demanderons d’essayer de nous vendre sa chaise, ou son stylo, par exemple. Une manière de vérifier sur pièce les affirmations des personnes trop vantardes», ajoute l’enseignant. » LIRE AUSSI - Combien gagne un jeune diplômé d’école de commerce? D’autres questions, parfois perçues comme piégeuses, visent simplement à réorienter la conversation vers un nouveau sujet. Si le jury estime avoir fait le tour d’une question ou d’un aspect du caractère d’un candidat, il peut décider de lancer une question sur un tout autre sujet pour essayer d’explorer autre chose. Il s’agit plus souvent d’une opportunité que d’un piège. Si l’on vous pose l’une de ces questions, c’est simplement que les examinateurs ne veulent pas rater une des facettes de votre personnalité. En partenariat avec Campus-Channel retrouvez toutes les vidéos des écoles de commerce

Jai commis plusieurs fautes et aimerai savoir si j'ai obtenu mon permis de conduire. Le résutlat du permis de conduire est souvent une grande source de stress et bon nombre d'élèves veulent savoir s'ils ont obtenu le permis de conduire ou l'ont raté ! Il est très difficile, pour une personne qui n'était pas dans la voiture le jour de l'examen du permis de conduire, de donner un avis

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