Commentte dire je t'aime. J'ai trouvĂ© des mots savants Bien trop long pour mes cinq ans. Alors, j'ai cherchĂ© ailleurs Et j'ai trouvĂ© dans mon coeur Les mots que tu m'as appris quand j'Ă©tais encore petit. Maman, je t'aime grand comme ça ! Je le dis avec mes bras. 655. Citation de cĂ©lĂ©britĂ©. Paroles D’enfant. Citation Mer & Coeur. J'ai Ă©crit ton nom dans la mer, les vagues l'ont traduction en roumainroumain/français A A Inima mea ĂźÈ›i spune te iubesc Casa pare că s-a mărit, Mai ales dormitorul. Din tine n-a rămas decĂąt parfumul. Descopăr Ăźn absența ta Un vid imens, VăzĂąnd cum trandafirii Ăźnfloresc Ăźn grădină. Trăiesc lĂąngă telefon, Dar cĂąnd el sună, Nu e niciodată apelul la care speram. M-ai uita, și eu cĂąnt, Dar atunci cĂąnd cĂąnt O fac doar ca să-mi Ăźnăbuș mea ĂźÈ›i spune te iubesc, Nu știe decĂąt asta. Nu vreau să te pierd, Am prea mare nevoie de tine. Inima ĂźÈ›i spune te iubesc, Ea e pierdută fără tine. Inima mea strigă te iubesc, Ori de cĂąte ori ales cĂąnd mă Ăźntorc acasă ĂŽÈ›i simt lipsa. Se poate spune că-n fiecare seară mă aștepți Și, Ăźn ciuda singurătății mele, Din obișnuință, Ieri din nou ți-am Ăźncălzit un pic de cafea. Cred că-mi pierd puțin mințile În ĂźnfrĂąngerea mea, Te inventez și nu mai știu unde mă aflu. Din nou ochii tăi strălucesc, Am lumina ta Ăźn culori Ăźn fotografii, Tu Ăźmi mea ĂźÈ›i spune te iubesc, Nu știe decĂąt asta. Nu vreau să te pierd, Am prea mare nevoie de tine. Inima mea ĂźÈ›i spune te iubesc, Ea e pierdută fără tine. Inima mea strigă te iubesc Ori de cĂąte ori mea ĂźÈ›i spune te iubesc, Nu știe decĂąt asta. Nu vreau să te pierd, Am prea mare nevoie de tine. Inima mea ĂźÈ›i spune te iubesc, Ea e pierdută fără tine. Inima mea strigă te iubesc, Ori de cĂąte ori mea ĂźÈ›i spune te iubesc, La la la la la la, La la la la la la la, La la la la la la... Inima mea ĂźÈ›i spune te iubesc... français françaisfrançais tupeut faire cesser le soleil de bruler, au Ă©toile de briller mais tu ne peut empecher mon coeur de taimer. si lamour est un crime, fait de moi ta victime. je pense a touah fois par jour et cette penser dur 24 si taimer est une folie, je serai folle toute ma vie. je suis aveugle car je ne voit que touah tu est aveugle car tu voit tute sauf mouah. ï»żLa maison a lÂŽair plus grande,Surtout la chambre,Il ne reste rien de toi que ton parfum,Je dĂ©couvre en ton absence,Un vide immenseEn voyant sÂŽouvrir les roses du jardin, Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone,Mais quand il sonne,CÂŽest jamais le coup de fil que jÂŽespĂ©rais,Tu mÂŽoublies et moi je chante,Mais si je chante,CÂŽest seulement pour me retenir de Mon cƓur te dit je tÂŽaime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,JÂŽai trop besoin de toi,Mon cƓur te dit je tÂŽaime,Il est perdu sans toi,Mon cƓur te crie je tÂŽaime,A chaque fois quÂŽil bat. CÂŽest surtout lorsque je rentre,Que tu me manques,Il faut dire que chaque soir, tu mÂŽattendais,Et malgrĂ© ma solitude,Par habitude,Hier encore je tÂŽai fais chauffer du cafĂ©, Je dois perdre un peu la tĂȘte,Dans ma dĂ©faite,Je tÂŽinvente et je ne sais plus oĂč jÂŽen suis,A nouveau tes yeux mÂŽĂ©clairent,JÂŽai ta lumiĂšre en couleur sur des photos,Tu me x2 La la la la,la la,La la la la la la, laLa la la la, la laMon cƓur te dit je tÂŽaime.

Jedois perdre un peu la tĂȘte, Dans ma dĂ©faite, Je tÂŽinvente et je ne sais plus oĂč jÂŽen suis, A nouveau tes yeux mÂŽĂ©clairent, JÂŽai ta lumiĂšre en couleur sur des photos, Tu me souris. refrain

Paroles de la chanson Mon Coeur Te Dit Je T'aime par FrĂ©dĂ©ric François La maison a l'air plus grande, Surtout la chambre, Il ne reste rien de toi que ton parfum, Je dĂ©couvre en ton absence, Un vide immense En voyant s'ouvrir les roses du jardin, Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone, Mais quand il sonne, C'est jamais le coup de fil que j'espĂ©rais, Tu m'oublies et moi je chante, Mais si je chante, C'est seulement pour me retenir de pleurer. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besoin de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. C'est surtout lorsque je rentre, Que tu me manques, Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais, Et malgrĂ© ma solitude, Par habitude, Hier encore je t'ai fais chauffer du cafĂ©, Je dois perdre un peu la tĂȘte, Dans ma dĂ©faite, Je t'invente et je ne sais plus oĂč j'en suis, A nouveau tes yeux m'Ă©clairent, J'ai ta lumiĂšre en couleur sur des photos, Tu me souris. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besoin de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. Mon cƓur te dit je t'aime, Il ne sait dire que ça, Je ne veux pas te perdre, J'ai trop besoin de toi, Mon cƓur te dit je t'aime, Il est perdu sans toi, Mon cƓur te crie je t'aime, A chaque fois qu'il bat. Mon cƓur te dit je t'aime, La la la la ,la la, La la la la la la, la La la la la, la la Mon cƓur te dit je t'aime...
NIMPORTE OU, OU QUE J’AILLE. JE TE SENS DERRIERE MOI. COMME UNE OMBRE QUE JE TRAINE. QUI NE ME QUITTE PAS. BIENVENUE SOLITUDE, MON ENNEMIE, OU MON AMIE. BIENVENUE SOLITUDE, TU ES CE QU’IL ME RESTE DE LUI. JE N’AI PAS QUE DE LA TRISTESSE. QUE LE FROID DE L’ENNUI. J’AI TELLEMENT DE CARESSESET DE TENDRESSE. LETRALa maison a l'air plus grande,Surtout la chambre,Il ne reste rien de toi que ton parfum,Je dĂ©couvre en ton absence,Un vide immenseEn voyant s'ouvrir les roses du jardin,Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone,Mais quand il sonne,C'est jamais le coup de fil que j'espĂ©rais,Tu m'oublies et moi je chante,Mais si je chante,C'est seulement pour me retenir de cƓur te dit je t'aime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,J'ai trop besion de toi,Mon cƓur te dit je t'aime,Il est perdu sans toi,Mon cƓur te crie je t'aime,A chaque fois qu'il surtout lorsque je rentre,Que tu me manques,Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais,Et malgrĂ© ma solitude,Par habitude,Hier encore je t'ai fais chauffer du cafĂ©,Je dois perdre un peu la tĂȘte,Dans ma dĂ©faite,Je t'invente et je ne sais plus oĂč j'en suis,A nouveau tes yeux m'Ă©clairent,J'ai ta lumiĂšre en couleur sur des photos,Tu me cƓur te dit je t'aime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,J'ai trop besion de toi,Mon cƓur te dit je t'aime,Il est perdu sans toi,Mon cƓur te crie je t'aime,A chaque fois qu'il cƓur te dit je t'aime,Il ne sait dire que ça,Je ne veux pas te perdre,J'ai trop besion de toi,Mon cƓur te dit je t'aime,Il est perdu sans toi,Mon cƓur te crie je t'aime,A chaque fois qu'il cƓur te dit je t'aime,La la la la ,la la,La la la la la la, laLa la la la, la laMon cƓur te dit je t'aime... MĂĄs abajo encontrarĂĄs canciones relacionadas con Mon Coeur Te Dit Je T'aime. Jevis entre les mains de Dieu, je vis sous la puissance de Dieu, sous Sa domination et Il m’a donnĂ© ce souffle, donc je dois engager mon esprit et tĂącher d’accomplir mon devoir de toutes mes forces : voilĂ  l’essentiel.” Les gens doivent avoir de la volontĂ© : seuls ceux qui ont de la volontĂ© peuvent vraiment lutter pour la vĂ©ritĂ©, et ce n’est qu’une fois qu’ils ont compris Paroles de Mon coeur te dit je t'aimeInterprĂ©tĂ©es par Dan Et LouLa maison a l'air plus grande surtout la chambre OĂč ne reste que toi et ton parfum Je dĂ©couvre en ton absence un vide immense En voyant s'ouvrir les roses du jardin Je vis prĂšs du tĂ©lĂ©phone mais quand il sonne C'est jamais le coup de fil que j'espĂ©rais Tu m'oublies et moi je chante mĂȘme si je chante C'est seulement pour me retenir de pleurer Refrain ====== Mon coeur te dit je t'aime Il ne sait dire que ça Je ne veux pas te perdre J'ai trop besoin de toi Mon coeur te dit je t'aime Il est perdu sans toi Mon coeur te crie je t'aime A chaque fois qu'il bat C'est surtout lorsque je rentre que tu me manques Il faut dire que chaque soir tu m'attendais Et malgrĂ© ma solitude par habitude Hier encore je t'ai fait chauffer du cafĂ© Je dois perdre un peu la tĂȘte dans ma dĂ©faite Je t'invente et je ne sais plus oĂč j'en suis A nouveau tes yeux m'Ă©clairent j'ai ta lumiĂšre En couleur sur des photos tu me souris refrain Mon coeur te dit je t'aime La la la .... etc... Mon coeur te dit je t'aime Il est perdu sans toi Mon coeur te crie je t'aime A chaque fois qu'il bat

JĂ©suslui rĂ©pondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton Ăąme, et de toute ta pensĂ©e. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme. De ces deux commandements dĂ©pendent toute la loi et les prophĂštes. Matthieu 22. 34/40.

Le 28 juin JĂ©sus dit "Soyez parfaits, vous tous que j’aime d’un amour privilĂ©giĂ©. Vivez en anges, vous qui constituez ma cour sur terre". Si l’invitation aimante Ă  ĂȘtre parfaits comme mon PĂšre[1] est faite Ă  tous, elle devient un doux commandement pour ceux que j’ai choisis pour mes amis et intimes. Être de mes disciples — non au sens gĂ©nĂ©ral qui s’applique Ă  tous les chrĂ©tiens, mais au sens propre du nom dont j’appelais mes douze disciples et amis — est un grand honneur mais qui comporte un grand devoir. La petite perfection ne suffit plus, c’est-Ă -dire ne pas commettre de fautes graves et obĂ©ir Ă  la Loi dans ses rĂšgles les plus spĂ©cifiques. Il faut atteindre aux raffinements de la perfection, observer la Loi dans ses plus dĂ©licates nuances, je dirais mĂȘme l’anticiper avec quelque chose en plus. Comme les enfants qui ne se contentent pas d’aller vers la maison du pĂšre en marchant Ă  cĂŽtĂ© de celui qui les y amĂšne, mais qui passent devant en courant, tout joyeux, surmontant la fatigue et les obstacles d’un sentier plus ardu pour pouvoir arriver plus vite, car leur amour les Ă©peronne. La maison de votre PĂšre est au Ciel; l’amour est ce qui vous Ă©peronne Ă  surmonter, en volant, toute difficultĂ© pour atteindre rapidement le Ciel oĂč le PĂšre vous attend, les bras dĂ©jĂ  ouverts, prĂȘts Ă  vous Ă©treindre. Donc, non seulement mon disciple doit obĂ©ir Ă  la Loi dans les choses importantes que j’ai imposĂ©es Ă  tous, mais il doit interprĂ©ter mon dĂ©sir, mĂȘme non exprimĂ©, que vous fassiez le maximum de bien que vous pouvez, dĂ©sir que l’amant comprend car l’a­mour est lumiĂšre et savoir. Je vais maintenant t’expliquer deux points de l’Évangile, l’un de Matthieu[2] et l’autre de Luc [3]. En rĂ©alitĂ©, il s’agit d’une seule parabole, mais exprimĂ©e avec quelques diffĂ©rences. Il ne faut pas s’étonner qu’on trouve de telles diffĂ©rences chez mes Ă©vangĂ©listes. Lorsqu’ils Ă©crivaient ces pages, c'Ă©taient encore des hommes, dĂ©jĂ  Ă©lus mais pas encore glorifiĂ©s. Ils pouvaient donc commettre des bĂ©vues, faire des erreurs, de forme et non de substance. Il n’y a que dans la gloire de Dieu qu’on ne se trompe plus. Mais pour l’atteindre, ils devaient encore beaucoup lutter et seul des Ă©vangĂ©listes rapporte ce que je dis avec une exactitude phonographique. Mais c’était le pur et l’amoureux. RĂ©flĂ©chis Ă  cela. La puretĂ© et la charitĂ© sont si puissantes qu’elles permettent de comprendre, de se rappeler, de transmettre ma parole sans erreur, pas mĂȘme d’une virgule ou d’une rĂ©flexion. Jean Ă©tait une Ăąme sur laquelle l’Amour Ă©crivait ses paroles, et il pouvait le faire car l’Amour ne se pose que sur les cƓurs purs et n’a de contact qu’avec eux, et Jean Ă©tait une Ăąme virginale, aussi pure que celle d’un petit enfant. J’ai n’ai pas confiĂ© ma MĂšre Ă  Pierre, mais Ă  Jean, car la Vierge devait rester avec le vierge. Souviens-toi de ceci Dieu ne communique pas les substances spirituelles qui rendent Ă  l’ñme cette fraĂźcheur candide, laquelle attire mon regard et obtient ma parole, Ă  qui n’a pas la puretĂ© du cƓur, conservĂ©e depuis la naissance ou regagnĂ©e par un travail assidu de pĂ©nitence et d’amour. Donc, mes Ă©vangĂ©listes racontent qu’un personnage — l’un nous dit que c’est un roi, l’autre laisse entendre qu’il s’agit d’un riche seigneur — donna un grand banquet, probablement de noces, et y invita un grand nombre d’amis. Mais ceux-ci allĂ©guĂšrent des excuses, dit Luc, et s’en moquĂšrent, renchĂ©rit Matthieu. Malheureusement, avec votre Dieu vous n’allĂ©guez mĂȘme pas d’excuses et vous rĂ©pondez souvent Ă  ses invitations en vous en moquant. Alors le seigneur du banquet, aprĂšs avoir puni les mal Ă©levĂ©s, pour ne pas gaspiller les aliments dĂ©jĂ  prĂ©parĂ©s, envoya ses serviteurs chercher tous les pauvres, les boiteux, les estropiĂ©s, les aveugles qui Ă©taient autour de la maison, en attente des restes, ou qui accouraient de partout, partagĂ©s entre la crainte et le besoin. Il ordonna de leur ouvrir la salle et de les faire asseoir Ă  table aprĂšs les avoir lavĂ©s et vĂȘtus comme il se doit. Mais la salle n’était pas encore pleine. Alors le riche seigneur ordonne aux serviteurs de sortir de nouveau et d’inviter n’importe qui, mĂȘme en utilisant une douce violence. Entrent ainsi, non seulement les pauvres qui errent dans le voisinage des riches, mais aussi ceux qui n’y pensent pas, convaincus de ne pas ĂȘtre connus du seigneur et de n’avoir besoin de rien. Quand la salle fut comble, le riche seigneur entra et il remarqua un invitĂ© - on ne prĂ©cise pas si c’était un pauvre ou un passant, mais c’est un dĂ©tail sans importance — qui avait enlevĂ© son habit de noces, ce qui fait penser que c’était un passant riche et orgueilleux et non un pauvre convaincu d’ĂȘtre un nĂ©cessiteux. Alors le seigneur indignĂ©, voyant qu’on mĂ©prisait son don et qu’on piĂ©tinait le respect dĂ» Ă  la demeure de l’hĂŽte, le fit chasser car aucune contamination ne doit entrer dans la salle de noces. Maintenant je vais t’expliquer la double parabole. Les invitĂ©s sont ceux que j’appelle par une vocation spĂ©ciale, une grĂące gratuite que j’accorde comme une invitation Ă  l’intimitĂ© avec moi-mĂȘme dans mon palais, comme Ă©lection Ă  ma Cour. Les pauvres, les aveugles, les manchots, les difformes sont ceux qui n’ont pas reçu d’appel spĂ©cial ou d’aide particuliĂšre, qui, par leurs seuls moyens, n’ont pas pu conserver ou obtenir la santĂ© et la richesse spirituelles, mais, au contraire, ont aggravĂ© leur malheur par de naturelles imprudences. Ce sont, en d’autres termes, les pauvres pĂ©cheurs, les Ăąmes faibles et difformes qui n’osent se prĂ©senter Ă  la porte, mais rĂŽdent aux alentours du palais en attendant une misĂ©ricorde qui leur redonne des forces. Les passants pressĂ©s, qui ne se soucient pas de ce qui se passe dans la demeure du Seigneur, sont ceux qui vivent dans les religions plus ou moins rĂ©vĂ©lĂ©es ou dans leur religion personnelle qui s’appelle argent, affaires, richesses. Ceux-ci croient ne pas avoir besoin de me on constate que souvent ceux qui ont Ă©tĂ© appelĂ©s nĂ©gligent mon appel, s’en dĂ©sintĂ©ressent, prĂ©fĂšrent s’occuper de choses humaines au lieu de se consacrer aux choses surnaturelles. Alors je fais entrer les pauvres, les aveugles, les boiteux, les difformes; je les revĂȘts de l’habit de noces, je les fais asseoir Ă  ma table, je les dĂ©clare mes invitĂ©s et je les traite en amis. Et j’appelle aussi ceux qui sont en dehors de mon Église, je les attire avec insistance et courtoisie, je les contrains mĂȘme avec une douce violence. Dans mon Royaume, il y a de la place pour tout le monde, et ma joie consiste Ă  vous faire entrer nombreux. Mais malheur Ă  ceux que j’ai Ă©lus par vocation et qui me nĂ©gligent, prĂ©fĂ©rant se consacrer Ă  des choses naturelles. Et malheur Ă  ceux qui, accueillis avec bienveillance mĂȘme s’ils ne le mĂ©ritaient pas, et revĂȘtus par ma magnanimitĂ© de la grĂące qui recouvre et annule les laideurs, enlĂšvent leur habit de noces, manquant ainsi de respect envers moi et ma demeure oĂč rien d’indigne ne doit circuler. Ils seront expulsĂ©s du Royaume car ils auront piĂ©tinĂ© le don de Dieu. Des fois, parmi les pĂ©cheurs et les convertis, je vois des Ăąmes si belles et si reconnaissantes que je les choisis pour Ă©pouses Ă  la place des autres que j’avais appelĂ©es et qui m’ont repoussĂ©. Toi, Maria, tu Ă©tais une pauvresse, une mendiante affamĂ©e, anxieuse, sans vĂȘtements. AprĂšs avoir essayĂ© par toi-mĂȘme de rassasier ta faim, de calmer ton anxiĂ©tĂ©, de recouvrir tes misĂšres, sans y rĂ©ussir, tu t’es approchĂ©e de ma demeure ayant compris qu’en elle seule il y a paix et rĂ©confort vĂ©ritable. Et moi, je t’ai accueillie, te mettant Ă  la place d’une autre qui, appelĂ©e par moi, a rejetĂ© la grĂące[4], et te voyant reconnaissante et pleine de bonne volontĂ©, je t’ai choisie pour Ă©pouse. L’épouse ne reste pas dans la salle de banquet. Elle pĂ©nĂštre dans la chambre de l’époux et en dĂ©couvre les secrets. Mais malheur Ă  toi si la bonne volontĂ© et la reconnaissance s’assoupissaient en toi. Tu dois continuer Ă  travailler pour me plaire toujours davantage. Travailler pour toi, pour me remercier de t’avoir appelĂ©e; travailler pour l’autre Ăąme, qui a repoussĂ© les noces mystiques, pour qu’elle se convertisse et revienne Ă  moi. Qui c’est, tu le sauras un jour. Maintenant, nourris-toi Ă  ma table, habille-toi de mes vĂȘtements, rĂ©chauffe-toi Ă  mon feu, repose-toi sur mon cƓur, console-moi des dĂ©fections des Ă©lus, aime-moi par reconnaissance, aime-moi pour rĂ©parer, aime-moi pour obtenir, aime-moi pour augmenter tes mĂ©rites. Je donne la robe nuptiale Ă  celle que j’aime d’un amour de prĂ©dilection. Mais la bien-aimĂ©e doit, par une vie d’une perfection angĂ©lique, l’orner toujours plus. Tu ne dois jamais dire ’C’est assez’. Ton Époux et Roi est un tel Seigneur que la robe nuptiale de la mariĂ©e doit ĂȘtre garnie de pierres prĂ©cieuses afin d’ĂȘtre digne d’habiller l’élue appelĂ©e Ă  s’asseoir dans le palais de son Seigneur". JĂ©sus dit encore “Cette fois, je me montre Ă  toi sous un autre aspect. L’Eucharistie est Chair, mais elle est Sang aussi. Me voici sous l’aspect du Sang. Regarde comme il exsude et ruisselle sur mon visage dĂ©figurĂ©, comme il coule le long de mon cou, sur ma poitrine, sur ma tunique, dou­blement rouge car trempĂ©e de mon Sang. Regarde comme il mouille mes mains liĂ©es et descend jusqu’aux pieds, au sol. Je suis vraiment celui qui presse le raisin dont parle le prophĂšte, mais c’est moi que mon amour a pressĂ©. Bien peu nombreux sont ceux qui savent Ă©valuer le prix infini de ce Sang, que j’ai prodiguĂ© jusqu’à la derniĂšre goutte pour l’HumanitĂ©, et jouir de ses trĂšs puissants mĂ©rites. Je demande maintenant Ă  celui qui sait le regarder et comprendre d’imiter VĂ©ronique et d’essuyer avec son amour le visage ensanglantĂ© de son Dieu. Je demande maintenant Ă  celui qui m’aime de panser avec son amour les blessures que les humains ne cessent de me faire. Je demande maintenant surtout de ne pas laisser ce Sang se perdre, de le recueillir avec une attention infinie, jusqu’à la plus petite gout­te, et de le rĂ©pandre sur ceux qui ne se soucient pas de mon sang. Au cours du mois qui s’achĂšve, je t’ai beaucoup parlĂ© de mon CƓur et de mon Corps dans le Sacrement. Maintenant, pendant le mois de mon Sang, je te ferai prier Ă  mon Sang. Dis donc ceci "TrĂšs Saint Sang qui jaillis pour nous des veines du Dieu fait homme, descends comme une rosĂ©e rĂ©demptrice sur la Terre contaminĂ©e et sur les Ăąmes que le pĂ©chĂ© rend semblables Ă  des lĂ©preux. VoilĂ  je t’accueille, Sang de mon JĂ©sus, et je te rĂ©pands sur l’Église, sur le monde, sur les pĂ©cheurs, sur le Purgatoire. Aide, rĂ©conforte, purifie, allume, pĂ©nĂštre et fĂ©conde, Oh ! TrĂšs divin Suc de Vie. Et que l’indiffĂ©rence et le pĂ©chĂ© ne t’empĂȘchent pas de couler. Au contraire, pour le petit nombre de ceux qui t’aiment, pour le nombre infini de ceux qui meurent sans toi, accĂ©lĂšre et rĂ©pands sur tous cette trĂšs divine pluie afin qu’on vienne Ă  toi confiant en la vie, que par toi on soit pardonnĂ© dans la mort, qu’avec toi on entre dans la gloire de ton Royaume. Ainsi soit-il". Ça suffit maintenant. À ta soif spirituelle je tends mes veines ouvertes. Bois Ă  cette source. Tu connaĂźtras le Paradis et la saveur de ton Dieu, saveur qui ne te manquera jamais si tu sais toujours venir Ă  moi les lĂšvres et l’ñme purifiĂ©es par l’amour.” Mon JĂ©sus avait commencĂ© Ă  parler Ă  quatre heures du matin, dans les pauses de mon demi-sommeil. La parole descendait comme une goutte de lumiĂšre dans les rĂ©veils et s’abĂźmait dans les retours du sommeil parce que je suis si fatiguĂ©e, si Ă©puisĂ©e... C’était comme si JĂ©sus Ă©tait penchĂ© sur mon lit et me disait un mot de temps en temps. MĂȘme quand vint l’heure de m’asseoir et de bouger, secouant le sommeil, ces mots qui avaient Ă©tĂ© rĂ©pĂ©tĂ©s maintes fois, comme le refrain d’une berceuse spirituelle, brillĂšrent vivement dans mon esprit. Ce sont les deux premiĂšres phrases du premier passage du 28 “Soyez parfaits... Vivez en anges”. DerriĂšre elles se dĂ©roulĂšrent les autres phrases. Il restait bien peu Ă  dire quand vous[5] ĂȘtes arrivĂ© avec la Sainte Communion. Et tout Ă©tait fini peu aprĂšs. L’autre passage, comme vous pouvez facilement comprendre, est une vue intĂ©rieure est-ce que ça se dit ? de mon JĂ©sus blessĂ© et ruisselant de sang. Ce n’est pas le beau JĂ©sus des autres fois, vĂȘtu de blanc, ordonnĂ©, majestueux, ni l’Enfant resplendissant de la derniĂšre fois, qui souriait du sein de sa un JĂ©sus triste, trĂšs triste, dont les larmes se mĂȘlent au sang, un JĂ©sus contusionnĂ©, dĂ©peignĂ©, sale, la tunique dĂ©chirĂ©e, les mains liĂ©es et la couronne bien enfoncĂ©e sur la tĂȘte. Je vois distinctement la couronne de grosses Ă©pines, pas longues mais serrĂ©es, qui pĂ©nĂštrent dans les chairs et les Ă©corchent. Chaque cheveu a sa goutte de sang et le sang ruisselle du front sur les yeux, le long du nez, descend le long de la barbe et du cou, sur la tunique, tombe goutte Ă  goutte sur les mains et semble plus rouge tant elles sont pĂąles, mouille la terre aprĂšs avoir mouillĂ© les pieds. Mais le plus triste Ă  voir est le regard... Il demande pitiĂ© et amour, et trahit sous une mansuĂ©tude rĂ©signĂ©e, une douleur aussi [6], si j’en Ă©tais capable, je voudrais pouvoir le dessiner pour vous et pour moi. Parce que, Ă  bien y penser, je ne connais aucun tableau de JĂ©sus et de Marie qui ressemble Ă  ce que je vois. Ni dans les traits, ni dans l’expression. Celle-ci en particulier fait dĂ©faut dans les tableaux des maĂźtres. Mais, devenir peintre, moi... Rien n’est impossible Ă  Dieu, c’est vrai, mais c’est en demander un peu trop !... Et je crois que le bon Dieu n’en fera rien, aussi pour que je n’éprouve pas de complaisance...[1] Cf. Matthieu 5, 48.[2] Matthieu 22, 1-14 – Cf. EMV Luc 14, 16-24. Cf. EMV Voir aussi EMV On ignore de qui il s'agit, mais on peut supposer qu'il s'agit d'une contemporaine. Les mystiques voyantes, telles Anne-Catherine Emmerich XIXe siĂšcle ou Marie d'AgrĂ©da XVIIe siĂšcle ont eu, elles aussi, leur martyre acceptĂ©. C'est la malignitĂ© des hommes parfois partant d'une bonne intention comme pour Clemens Brentano qui a perverti la transcription de leurs visions
PPIHfa.
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