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Les commentaires indésirables sont visibles par toi uniquement, tu peux les supprimer ou les marquer comme "pas du spam". Supprimer tout Great pussy touching and very sexy panties! Ah oui excellent ma Jolie Moi je veux bien la mettre Oh l'énorme culotte, ça refroidit belle culotte! beau porte jarretelles! tomus59 On imaginer e bien la queu de mr dans sa bouche personnellement je n'aurai pas résister etalon77930 sai tjrs bon les preliminaires j'adore ces moments quand l'excitation monte avant un moment de plaisir la t il mise dans ta culotte couple5962 à hugh66 gagné hugh66 oui il va la mettre couple5962 à Ulysse88 merci Superbe, c'est vrai que l'on a surtout envie de passer ses doigts délicatement sur la dentelle de votre superbe culotte ! hummm, moi je veux bien !!!! couple5962 à jelolebo oui mais ils me la retire assez vite vous savez ou alors ils me la laisse a mi cuisse ils disent que ça fait salope non juste te caresser pour faire monter ton plaisir à couple5962 Je me doute bien qu'elle n'a pas résisté, trop tentant! couple5962 à hm06 cette main a aussi fouillée l'intérieur de ma culotte Mmmm, j'imagine la sensation que ressent cette main qui caresse cette jolie culotte... très sexy en lingerie coquine jambes écartées... je glisserai bien ma langue sur ta belle chatte avant d'y glisser mon gros sucre d'orge... 1 2

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On était samedi soir, j'étais allé visiter une maison soit disant hantée à l'aide d'un guide, je m'y étais rendu par curiosité, n'y croyant pas du tout. On était dans une maison passablement délabrée, où paraît-il un exorcisme avait eu lieu. Le guide décrivait avec force détails l'état dans lequel se trouvait la possédée, elle était décrite comme une névrosée nymphomane. À l'époque une femme qui exprimait du désir était considérée comme possédée, ça me faisait rire un peu! J'ai soudain entendu, -bonjours mon grand! Je me suis retourné mais personne ne m'adressait la parole. -Ne cherche pas, je suis dans ta tête et j'ai hâte d'actionner ton sexe, laisses-moi un peu de temps. Il s'écoula quelques minutes J'ai tout à coup l'impression que quelqu'un me tripote les testicules. -Ça fait longtemps que ça n'a pas fonctionné hein! Il va falloir faire le ménage la dedans! Soudainement je commence à bander! J'ai dû me cacher de la vue des gens autour de moi pour redresser ma queue, elle bande à toute vitesse et elle est coincé dans ma culotte, je ferme ma veste pour cacher la bosse dans mon pantalon. - Mmmh! ça faisait longtemps que je n'avais senti une queue bien raide mmmh! Ce qui serait bon c'est une bonne giclée! Je sens la montée du sperme, je n'ai que le temps de trouver la salle de bain et me sortir la queue que je décharge. -Putain que ça faisait longtemps me répète la voix. On va vider le vieux, dit la voix Je sens à nouveau monter le sperme et de longue giclée tombent dans la toilette. Jamais de ma vie je n'avais autant éjaculé même pas adolescent. - -Faut faire sortir le vieux si on veut du neuf hein! Je ne débande pas, Ça a fait du bien, maintenant ça me prendrais un partenaire! Retourne dans le groupe! Je n'ai pas d'autre choix, je retourne suivre la visite en essayant de cacher mon érection. Un jeune homme est tout juste à côté de moi derrière le groupe. J'ai l'impression qu'un tentacule transparent me sort de la tête pour entrer dans la sienne. Il se retourne vers moi et me demande, vous voudriez me montrer la salle de bain. Je l'accompagne jusqu'à la porte. Vous voudriez entrer avec moi, je ne me sens pas en sécurité dans cette maison. On entre tous les deux dans la salle de toilette, je pensais qu'il entrerait dans l'une des alcôves, mais il se tourne vers moi, son attitude change du tout au tout, il me passe les bras autour du cou et m'embrasse, il me plante sa langue dans la bouche! Elle me met la main au sexe et sourit de sentir mon érection. J'ai terriblement envie de toi! J'ai envie de ta bite dans ma bouche! Mes pantalons sont tombés et j'ai enfilé ma queue dans sa bouche ouverte et j'ai commencé les vas et viens. Il me répétait oui baise moi, baise ma bouche. Puis il me dit vide toi! J'éjacule instantanément, le sperme coule sur son menton. Bordel que ça fait du bien, me dit la voix! Puis il se relève me remet ma culotte beurrée et on sort de la salle de bain, près du groupe il retrouve ses esprits, mais ne semble se souvenir de rien, il est visiblement inconfortable! Probablement à cause de la sauce dans sa bouche me dit la voix Ah! Ah! Ah! Finalement je débande et je retourne chez moi. Il n'y a plus de voix. Je me suis dit qu'il valait mieux oublier ça. Je me suis douché et me suis préparer à me coucher. On frappe à la porte c'est ma voisine de la porte d'à côté. Elle me sourit malicieusement, je la trouve tout simplement magnifique et la voilà à ma porte. Entre que je lui dis, elle s'avança dans la pièce une tasse à la main me demandant de lui prêter du sucre, elle dépose sa tasse puis me regarde dans les yeux et me dit qu'elle avait besoin d'un homme et que je suis le chanceux de ce soir, elle retrousse sa jupe, écarte sa culotte et commence à se masturber en me souriant. Je suis sidéré, je ne respire plus, je veux rester dans cet instant. Qu'est-ce que t'attend me dit la voix, je suis allé te la chercher! Je lui dis met toi à l'aise, elle se met toute nue et elle continue de se masturber. Je bande furieusement, encore, même après tout ce sperme. Je l'amène dans ma chambre et la couche sur le lit, elle relève ses genoux et écarte ses magnifiques cuisses une main toujours entre ses jambes. Je me déshabille, lorsque je m'approche d'elle, elle m'attrape la queue et l'amène vers son sexe. Son sexe est chaud et détrempé. Je n'en reviens pas d'être en train de baiser une femme comme elle. Au bout de quelques minutes, elle se contracte, elle a visiblement un puissant orgasme, il ne m'en faut pas plus, je lui remplis son sexe. Je ne débande pas, je me retourne sur le dos, elle me monte, quelle vision, elle est magnifique, elle balance son bassin, une danse à me donner le tournis. Si ce moment pouvais durer. Elle balance ses hanches de plus en plus, son souffle est court, elle se cambre, je sens son vagin se contracter sur mon sexe, elle jouit, quel moment exquis, je viens à mon tour. Puis la voix me dit, tourne la sur le dos, c'est mon tour Ma queue bande encore un peu plus, au bord de la douleur. Je me couche sur elle et sens que je perds le contrôle, je la baise avec force, j'éjacule chaque fois que ma queue est au fond d'elle, le sperme gicle hors de sa chatte tellement elle est pleine. C'était d'une jouissance impossible à décrire, c'était diabolique, la voix continue de plus belle, il la tient et continue, il la baise, elle commence à avoir des orgasmes à répétition, de plus en plus puissants. Puis je reviens à moi, je suis encore entre ses cuisses. Elle s'endort. Je sombre également, écrasé de fatigue. Lorsque je me réveille, il y a quelqu'un à côté de moi, je me suis dit, elle est toujours là. Je me rends à la salle de bain. En levant les yeux vers le miroir j'aperçois une femme, des seins des hanches et une vulve! Je suis elle! Je touche les seins, ils sont bien réels et je sens ma main sur le mamelon. Je descends ma main vers mon sexe, pas de queue, je glissai mon doigt entre mes grandes lèvres, la sensation est étrange, ce sexe m'appartient, je ramène ma main vers mon clitoris et le frôle, ouf! J'explore mon sexe, glisse un doigt tout le long des grandes lèvres, la sensation est délicieuse, j'enfonce un doigt dans mon vagin, je suis mouillée, la sensation est puissante et totalement inconnue. J'enfonce un deuxième doigt et effectue quelques vas et viens, si j'avais une queue, je serais bandé, j'ai besoin de peau que je me suis dit. Je sentais le sexe et l'odeur m'indisposait, je me suis doucher. Je n'aimais pas l'odeur du savon, mais bon c'est le seul que j'ai. Je retourne dans la chambre, je suis là couché, inconscient! Et bien ma belle, ça va te prendre de l'homme hein! Me dit la voix. Qu'est-ce que tu m'as fait? Tu es une belle femme, qu'est-ce que les hommes ont envie de faire à une belle femme? Je vais te faire vivre une belle expérience! Les souvenirs de la belle se mêlent aux miens, c'était très curieux. Mon copain! Il faut que je m'habille, je repris la culotte mais, dans quel sens ça va? Le soutien-gorge, je ne sais pas comment mettre ça, j'enfile la robe, je ramasse les sous-vêtements et regarde par la porte entrouverte s'il y avait quelqu'un. Personne bon, je sors, la porte se verrouille derrière moi, mais j'ai pris la clé! Je sais, je ne sais comment, que son copain vient la chercher vers 9 00hre et il est 8 45hre. Il ne fallait pas qu'il me trouve là! J'étais près de la porte de son appartement quand j'entends derrière moi es-tu prête mon bébé! C'était Paul son copain. Il me prend par la taille et m'embrasse. Hé bébé t'as pas mis de soutien-gorge, il me glissa la main entre les cuisses en me souriant, t'es mouillée! Pas de culotte, cochonne, je pense à toute vitesse, je suis descendu pour en laver et lui montre les sous-vêtements dans ma main, mais la laveuse est occupée! C'est pas grave bébé, je te préfère comme ça tu le sais bien et puis on sera en party avec les amis, tu n'en auras pas besoin! On sera tous nus toute la journée. Hé! Ben! Que je me suis dit, elle qui ressemble à un ange! On a un peu de temps, de te toucher comme ça, ça m'a excité! Il me regarde de ses grands yeux verts, les genoux mon pliés malgré moi! Il me prend dans ses bras, hé! On va me voir les fesses, il me répond ça va faire des jaloux en me faisant un grand sourire, je fonds littéralement! Il me dépose près du lit et m'enlève ma robe. Il se déshabille et vient se coller à moi, je sens son membre sur mon ventre, sa peau est douce, j'aime son parfum, il m'embrasse, je me couche, j'ai levé mes genoux et ouvert mes jambes sans même y penser. Il se couche sur moi, m'embrassa la bouche ouverte, sa langue touchait la mienne nos salive se mêlent, j'adore! Je nageais entre ses souvenirs et les miens. Il place son gland à l'entrée de mon sexe et pousse lentement, je sens mes grandes lèvres s'ouvrir, son corps envahit le mien, mon corps s'ouvre à lui, j'avais à la fois peur et un désir irrésistible qu'il me pénètre, sa queue est large et longue, je sens son pubis s'appuyer sur le mien, il est en moi, mon vagin enserre sa queue, je suis pleine de lui et j'aime ça! Il commence ses vas et viens, je suis complètement à sa merci, je lui donne mon corps, mon âme, je le veux, je veux sa queue! Tu vois bien me dit la voix, que tu vas passer une belle journée, profites-en! Je me laisse bercer par ses vas et viens, abandonnée, je suis à lui! Il accélère, je passe mes jambes autour de lui et le tire vers mon sexe. Il se retourne, je me retrouve sur lui, son sexe est complètement en moi, je suis pleine de lui, je balance mon bassin, le bout de sa verge frotte sur les parois de ma matrice, il me donne des frissons, j'accélère ma danse, mon souffle est plus court le plaisir dans mon sexe est très fort j'accélère, mon vagin se contracte sur sa queue, une série de spasme m'assaille, je suis ailleurs pendant un moment, je cesse de respirer. Mon bébé tu t'amuses! Je lui réponds que oui et qu'il ferait bien de terminer pour qu'on parte! Je me suis entendu parler, c'est bizarre. Il me retourne sur le dos, je sais qu'il adore me remplir dans cette position, j'adorerais sentir son sperme chaud qui coule dans mon sexe et les spasmes de sa queue. Il me regarde, mais c'est la voix qui me parle, C'est mon tour! Comme il l'avait fait hier il commence à éjaculer au fond de mon sexe en me tenant fermement. La sensation dépasse tout entendement, je jouissais sans arrêt, le sperme sortait tout le tour de sa queue et me coulait entre les fesses, me dégoulinait sur l'anus. Le sperme est chaud et je le sens au fond de moi. Je ne veux pas que ça s'arrête! Ses coups de reins sont puissants et je sens chacune de ses éjaculations. Il m'en a donné une bonne quantité, puis mon copain est retombé sur le côté endormi. Quelqu'un frappe à la porte! Bon qu'est-ce que c'est encore? J'ouvre après avoir enfilé une robe de chambre, le sperme me coule le long des jambes, je dois garder une main entre mes jambes pour ne pas en mettre partout. C'est Barbie, une voisine, des souliers plateforme, une jupe de soie pas assez longue pour cacher sa culotte, une blouse ouverte sur une généreuse poitrine, des cheveux blond platine et maquillé, disons très maquillé. Elle me parle d'une voix grave qui jure avec la féminité qui se dégage d'elle. Cet après-midi on a un cocktail on préfère vous avertir ça sera peut-être bruyant! Je lui réponds que de toute manière on sera à l'extérieur, vous pouvez-vous amuser sans crainte. J'ouvre un peu plus la porte sans penser! Ma robe de chambre est ouverte et je me tiens le sexe, elle me regarde et sourit j'arrive à un mauvais moment? Non il s'est endormi. Quelle réponse! Elle me tend la main je la prends, elle me tire vers elle et m'embrasse. La porte se referme, je suis dans le corridor, c'est moi Barbie! La voix me dit on va essayer autre chose. Attend de voir l'équipement! Putain c'est bientôt fini? La voix de me répondre quand je serai satisfait! Ses deux copines arrivent et me disent as-tu fini? Il faut aller bosser Barbie! En plus c'est à ton tour! Je leur dit que je me suis foulé la cheville et que j'ai de la difficulté à marcher, elle me dise c'est pas un problème on va t'aider. Flute! Avec une des ces demoiselles de chaque côté, on sort dans la rue! J'ai pratiquement les fesses à l'air, je ne suis vraiment pas à l'aise, on se fait remarquer par tous les passants. On arrive au restaurant, le propriétaire leur dit, salut les filles, il y a plusieurs clients qui attendent. Les deux filles m'amènent dans une petite pièce au fond, elle me prenne mes vêtements et sortent. Il y a un miroir dans la pièce, je suis nu, bordel, j'ai un équipement lourd entre les jambes, c'est du gros calibre et que dire de l'énorme poitrine! Je me prend en main, un homme entre, salut Barbie, aujourd'hui c'est pour une pipe! L'homme baisse son pantalon, c'est de toute évidence un habitué! Par pur réflexe, je me met à genoux et commence la fellation, veux-tu te masturber en me suçant j'aime ça, ben oui mon chérie, que je lui répond! Je reprend mon énorme queue en main la sensation est plutôt agréable. Me branler me donne de l'inspiration. Le bonhomme bande rapidement et me donne sa semence. Wow! Barbie t'es en forme aujourd'hui! À demain ma belle. T'es une pute mon grand, qu'est-ce que tu dis de ça, me dit la voix? Je n'ai pas le temps de répondre, une des filles entre, c'est pour ta chatte! Je me place à quatre pattes, un réflexe, sur le petit lit, elle me lubrifie l'anus. Le gars monte dans le lit et m'enfonce sa bite dans le cul, heureusement il n'est pas bâti comme moi, il se soulage, je sens son sperme chaud, c'est plutôt agréable. Puis une pipe, puis dans le cul puis une pipe, puis le suivant. Une des filles viens me chercher avec mes vêtements, sans ma culotte, c'est l'heure de manger ma grande. Je sors donc habillé si on peut dire, après m'être lavé. Une des filles me fait assoir au fond de la banquette l'autre se place à côté de moi. Elle me met la main entre les jambes, t'es bandée ma belle, je vais te soulager, de toute façon on a besoin de notre crème à café préférée. Elle me masturbe d'une main en mangeant. J'entend la voix qui rit Au bout de deux ou trois minute, je sens que je vais éjaculer. Elle place un verre vide devant le bout de ma queue et j'y déverse plusieurs jets de sperme. Wow ma chérie, il va y en avoir pour tout le monde. Elle commence à verser dans les tasses. Le proprio amène sa tasse lui aussi. Ils boivent tous à ma santé. Mmmh! Tu es délicieuse aujourd'hui. La voix me dit, je leur ai fait ça sucré! Mon énorme queue reste bandée. Elle se glisse sous la table et me prend en bouche. Je pense qu'une fellation comme celle la, il n'y a pas une femme pour y arriver. Pas jusqu'au bout ma grande j'en ai besoin pour bosser! J'avais le souffle court tellement je jouissait. Le proprio et les deux filles se partagent mon sperme et se délectent. Les deux filles descendent sous la table et me lèche à tour de rôle. Les filles il y a des clients. J'étais à nouveau bandé. Il y en a un pour se faire enculer par Barbie dit le proprio. Lâchez ma queue les filles il faut que j'aille bossé! Lâchez ma queue! Ah! Ah! Ah! Je suis retourné dans la petite salle, le type est à quatre pattes, je lui met du lubrifiant dans le cul, puis j'entre un, puis deux, puis trois doigts dans le cul. C'est Barbie qui travaille, Je monte sur le lit et j' appuie mon gland sur son anus et doucement ma queue glisse à l'intérieur, je commence mes vas et viens, l'homme râle de plaisir. Il est bandé et se masturbe comme un dément. Au bout de quelques minutes, l'homme éjacule et me demande de lui remplir le cul. Je sens le sperme qui monte, et il y en a! Je lui en met, ça déborde autour!! Encore la voix je suppose. OUI! Il jubile littéralement, je reviendrai te voir c'est certain. Je fais ma toilette, puis je sort. Les filles sont sous la table. Vite on s'est ennuyé de ta queue! Elles se mettent à deux pour me lécher. Je les avertis pas de sperme les filles, on a un party ce soir! Il faut en laisser pour les autres! Et puis il faut retourner à la maison, si vous voulez préparer le party! Tu vas être la déesse de la soirée, tu sera nue hein? Si ça vous fait plaisir les filles, je pensais que vous m'aviez assez sucer pour aujourd'hui! Tu es trop délicieuse, on va te sucer toute la soirée. Et moi je peux pas vous sucer? Les deux filles reviennent sur la banquette, toutes les deux en face de moi. Ce devait être habituel, j'ai dit ça sans réfléchir! Je me glisse sous la table et prend la première queue, moins grosse que la mienne, mais du bon calibre. Je la complimente sur sa queue, et commence des vas et viens en suçant. Elle éjacule et je la bois jusqu'à la dernière goutte. Je prend l'autre queue, je la complimente également, pas de jalouse, je lui lèche le gland puis prend sa queue, elle vient presqu'immédiatement, je lui suce son sperme longement. Je reviens m'assoir, elles me regardent le sourire aux lèvres. À la maison, il n'y a plus de client! Ma culotte les filles, tu n'en a pas besoin Barbie, je suis bandée si le vent soulève ma jupe j'aurai la queue à l'air! On se mettra devant toi! On retourne dans le bloc, le vent a soulevé ma jupe à quelques reprises et elle ne se sont pas placées devant moi. Elles regardaient ma queue prendre un bain de soleil, heureusement il n'y avait personne. Une fois à l'intérieur de la bâtisse, elles m'ont agrippé la queue toutes les deux et me tiraient chez elles, enfin nous, elles demeurent ensemble! Elle me déhabille et l'une après l'autre, elles me masturbe, me suce et me complimente sur ma queue! Et moi qui ne débande pas! Il vas falloir me laisser un peu si vous voulez que vos invités aient quelque chose à manger! Elles se sont mise à préparer les bouchées, tandis que je déambulait nu dans l'apartement. Je ne débandais pas et ça faisait plaisir à mes copines! Elle me comlimentaient sur ma queue, sur mes boules, sur ma chatte! Chaque fois qu'elles en avaient la chance elle prenaient un peu de temps pour me sucer. Me glisser leur queue dans le cul pour quelques vas et viens. Ça leur faisait visiblement plaisir de m'avoir à leur disposition. Les invités ont commencé à arriver, ils me serraient tous la queue plutôt que la main, ça devait être la coutume. Ils m'embrassaient la bouche ouverte en me prenant par la taille ou me mettait un doigt dans le cul, je me laissais faire en souriant. Je me suis fais sucer par à peu près tout le monde. J'étais épuisé, je leur ai dit que j'avais besoin de prendre un peu l'air, elles ont refuser de me donner ma culotte. Je suis retourné chez moi. J'étais toujours là sur mon lit inconscient. J'ai préparé mon réveil, pour le bouleau et me suis couché à côté de mon corps la tête sur mon épaule, espérant être moi-même en me réveillant. Au matin, lorsque le cadran ma tiré du sommeil, j'étais seul et redevenu moi-même. Ouf! C'étais un rêve, je me douche mange un morceau et me rend au travail. Ça faisait une heure que j'étais là, tranquille, la voix me dit C'est lui le petit roux qui te donne des frissons! Mmmh! Le secrétaire qui ne m'avait jamais regardée, me regarde en se léchant les lèvres. Il a une main sous son bureau et visiblement il se masturbe! Il va falloir allez aux toilettes mon grand! Nooooonnnnn! Toutou pulmo330 Autres histoires de l'auteur L'apprenti pharmacien La maison hantée Une formation éclair Le restaurant sur la route IMPORTANT Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection, que tu sois sous Prep ou pas. PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !
Aujourdhui, je mangeais la chatte de cette fille, elle m'a laissé mettre ma main dans sa chatte et il y avait de la magie, la magie est apparue dans un jet très délicieux. Ma bite était si forte que je devais pousser très dur à l'intérieur d'elle, mon dieu! Liés; 15 min . Sandy Lou fait sa première vidéo XXX baisée par son copain. 10 min . Elle baise son patron pour un poste de
JUSTE EN FACE Je laissais le café finir de se faire, pour en boire une tasse avant de repartir. Il était treize heurs vingt. Je suis venu me caler à la fenêtre. Ca faisait deux mois que j'étais revenu chez moi définitivement, après des années d'itinérance. J'avais enseigné l'économie en acceptant d'être remplaçant. Ca m'avait permis de tourner sur pas mal de départements, de communautés de communes, de villes...Une expérience qui m'avait beaucoup plu. Mais tout a un temps. Je venais de prendre ma retraite. A 58 ans, j'avais suffisamment d'annuités, j'avais eu aussi l'intelligence de faire des placements. Je savais que je pourrais finir mon existence tranquillement. J'étais rentré chez moi, une maison qui appartenait à mes parents et que j'avais gardée, où j'avais prévu de me retirer. Je n'étais pas oisif pour autant. Je m'étais engagé, comme j'en avais envie depuis longtemps dans des associations caritatives. Le matin, je faisais la ramasse de la Banque Alimentaire, le soir, j'étais bénévole aux Restos du Coeur, je leur faisais la comptabilité et je gérais l'administratif. J'habitais dans un petit hameau bien tranquille, où chacun restait chez lui. L'indiscrétion, ce n'était pas trop notre truc, et c'était tant mieux. Le spectacle que j'avais sous les yeux a capturé mon attention et j'aurais été bien incapable de regarder ailleurs. Ma voisine, Danyelle, avec un Y, elle y tenait, était installée sur le siège conducteur de sa voiture. Elle avait les deux jambes posées sur le sol cimenté de son garage. Son attention posée sur ses jambes, elle a fait glisser doucement, une jambe puis l'autre, les mains sur son collant, pour lisser et remonter celui-ci le long de ses jambes. Elle avait des jambes fines, mais très bien dessinées, et comme elle avait une jupe courte, et qui était remontée quand elle s'était assise, son absence de culotte était évidente. Même d'où je me trouvais, je pouvais voir nettement le dessin de son sexe, une fente dont dépassait un bout de lèvre, et une absence de poils. Elle avait exactement le même âge que moi, mais, malgré le passage du temps, Danyelle était toujours une femme désirable. Et ma verge dressée dans mon caleçon ne disait pas le contraire. Danyelle. Je ne l'avais pas vue depuis des mois, et en tout cas pas depuis mon arrivée. Ca faisait trente-cinq ans qu'elle était en face de chez moi. Avec son mari, ils avaient acheté cette maison, inhabitée, et ils en avaient fait une belle demeure. On avait eu l'occasion de discuter, plusieurs fois, à l'époque. Elle était chaleureuse et souriante. Et surtout elle était très désirable. Une petite brune, avec des formes menues mais très marquées, quelque chose de très sensuel dans son allure, dans sa démarche, et une féminité affirmée. Elle m'avait aussitôt plu, mais elle était mariée, et ce n'était pas mon style de courir après une femme mariée. A l'époque, j'avais repris mes études pour un an, et j'étais souvent là. Le Destin me tourmentait en me la mettant sous les yeux et en me confirmant bien que oui, elle était désirable. A l'été, quand elle était chez elle, elle se baladait systématiquement en maillot de bain. Difficile de ne pas frémir en la voyant étendre le linge ou lire un magazine sur un transat. Elle avait une plastique impeccable, et ses maillots le disaient clairement. Quand le froid était venu, elle avait opté pour des tenues près du corps, robes, tailleurs, jeans, qui la soulignaient. Une taille fine, des jambes qui ne l'étaient pas moins, des fesses très cambrées, une poitrine en dysharmonie avec le reste de son corps, et puis le choix de couper ses cheveux très courts. Ce qui m'avait pourtant le plus troublé, au-delà, c'était qu'à l'époque, elle et son mari étaient très amoureux l'un de l'autre, comme on peut l'être quand on vient de marier, qu'on se connaît depuis peu, qu'on est jeune et que le désir est très fort. J'avais été témoin de moments qui m'avaient tordu le ventre, impudiques, mais d'une impudeur qui n'était absolument pas calculée. Ils étaient chez eux, et ne pensaient pas forcément que leur hangar ouvert, leur jardin, donnait sur la maison en face, tout comme une chambre à la fenêtre ouverte. Près de trente-cinq ans après, ces scènes étaient encore en moi, jamais effacées, toujours ravivées...J'y pensais souvent quand je me masturbais. Et même quand j'avais une copine, une compagne, il m'arrivait d'y penser aussi, comme si au final c'était ce que j'avais pu vivre, connaître, de plus excitant. Il y avait eu sans doute, je ne savais pas si c'était le premier chronologiquement, ce moment où elle étendait le linge. Ils avaient mis un fil dans le hangar à l'étage, et elle y pendait régulièrement le linge pour qu'il sèche. A la base, c'était déjà troublant parce que la lingerie féminine m'émoustillait toujours. Je trouvais troublant de voir du tissu qui était en contact avec les parties intimes d'une femme, et le vide renvoyait forcément au plein. Et j'aimais voir ces collections de culottes, de soutien-gorge, de dessins et de couleurs divers. Il y avait aussi la sensualité de voir une femme étendre son linge, et encore plus quand elle est en maillot de bain. Son mari est monté la voir alors qu'elle étendait, en fin d'après-midi. Je relisais des notes près de la fenêtre. Ces notes, je les ai délaissées pour un moment. Il a fait sauter l'agrafe qui maintenait son soutien-gorge dans son dos, et il a attrapé le tissu. C'était une chose de voir ses seins enveloppés par le tissu, c'en était une autre que d e les voir nus. Ils étaient haut perchés, bien ronds, charnus, fermes...Avec une envie évidente, il est venu prendre ses tétons dans sa bouche...Elle faisait d'évidence partie de ces femmes sensibles par là. Elle s'est cambrée en arrière, fermant les yeux, et poussant un gémissement que j'ai entendu par la fenêtre entrouverte. Il y avait une ardeur chez son mari, une envie de lui bouffer les seins, sans aucun doute, mais aussi de lui donner du plaisir, et apparemment, il y réussissait très bien. Je n'ai pas manqué de remarquer que, pendant qu'il allait d'un sein à l'autre, son épouse avait glissé sa main dans le slip de son maillot de bain et qu'elle se masturbait, dans un geste déterminé, faisant tourner sa main sur son intimité. Un mouvement circulaire qui avait d'autant plus d'impact qu'il n'était pas visible, mais masqué par le tissu. Elle a tendu son autre main vers lui, et j'ai bien compris qu'elle allait chercher sa queue dans son pantalon pour le masser en même temps. Il allait d'un sein à l'autre, et je voyais bien, même d'ici que ses tétons s'étaient durcis, plus épais, plus longs...Et qu'elle éprouvait du plaisir. Elle a fini par jouir, se tendant, se cambrant. Lui par contre, n'en était pas encore là. Ils se sont légèrement déplacés. Je me suis demandé si elle n'était pas consciente de ma présence, et qu'elle ne voulait pas me donner à voir sa masturbation. En tout cas, comme ils se sont positionnés, de trois-quarts j'ai pu nettement voir la belle queue de son mari, aussi longue qu'épaisse, et sa main qui allait et venait sur lui, une caresse qui tournait autour de lui, venait aussi sur son gland et sur ses couilles. Il s'est tendu et a joui, bouche ouverte, balançant des traits copieux de sperme dans les airs. Et ça n'a pas été la seule fois, loin de là. J'en étais arrivé à me poser des questions, qui n'ont jamais vraiment eu de réponse. J'étais plus ou moins convaincu qu'elle m'avait aperçu et qu'elle voulait me troubler en mettant en scène des moments de sexe avec son mari. Me donner envie de quelque chose que je ne pourrais pas avoir...Mais je n'ai jamais eu aucune certitude à ce sujet. Dans les jours, les semaines, les mois qui avaient suivi, je l'ai souvent vue le masturber. Il ne disait pas non. Elle venait le chercher quoi qu'il fasse, scier du bois, peindre, arroser les plantes, elle sortait sa queue de son pantalon, et elle le caressait. Ce n'étaient jamais les mêmes caresses, parce qu'elle ne prenait jamais sa queue au même stade de l'érection, et elle ne faisait jamais pareil, parfois frôler une partie de sa verge de l'ongle, du doigt, parfois un mouvement de va-et-vient classique...Ca finissait en tout cas toujours de la même manière, des jaillissements de sperme, qui partaient en tous sens. Ce qui m'avait énormément plu, une fois, je m'étais joui dessus, ca avait été la seule fois, ca avait été de la voir venir se caler devant lui, en short, sortir sa queue, et la masser en frottant son cul contre lui. Elle était repartie avec le short et le débardeur couverts de sperme. Un dimanche matin, j'avais été témoin, tôt , d'un accouplement, quelque chose de vraiment intime. Leur chambre à coucher était en face de la fenêtre de ma chambre à coucher, mais un peu décalée, et le matin ils ouvraient pour aérer. Est-ce que j'envisageais de mater quand j'étais venu boire mon café devant la fenêtre...Me décaler un peu par rapport à la fenêtre, elle-même déjà décalée, me permettait de jouer es voyeurs. Je n'avais sans doute pas à être fier de ça, mais j'aimais la voir nue. Souvent, je la voyais quand elle passait une nuisette, l'enlevait, partait à la douche, en revenait, s'habillait ou se déshabillait. Ces moments me plaisaient. Ce jour-là, ça a été nettement plus hardcore. Elle était toute nue, sans rien sur la peau. Voir quelqu'un paré d'un vêtement est excitant, mais la nudité est aussi plutôt troublante. Ce corps souple, féminin, m'attirait énormément. Elle avait grimpé sur le lit, et elle s'était mise à quatre pattes. Je la voyais de profil. Parlant à quelqu'un que je ne distinguais pas, mais je pouvais aisément deviner de qui il s'agissait, elle avait dit -Viens, j'ai vraiment envie de sexe ce matin. Lui avait un pantalon de pyjama et un T-shirt. Il était venu derrière elle. Il avait fait quelque chose qui m'avait vraiment troublé, prenant ses fesses à pleines mains, il était venu parcourir son sexe de sa langue, la faisant gémir. -Viens sur mon amus aussi, tu sais que je suis hyper-sensible par là. Le mouvement qu'il avait eu disait qu'il était effectivement remonté sur sa muqueuse anale. Avant de se pencher sur elle il avait sorti sa queue de son pantalon, et je l'avais vue se remplir de sang, prendre de la forme, pour une belle érection. Queue qu'il a ajusté sur le sexe de son épouse, pour aller et venir en elle. A en juger par la réaction de la jeune femme, sa manière se se tendre, de se cambrer, de gémir, ça devait être bon d'être fouillée par cette queue. Elle se pincait les seins. D'où j'étais, je les voyais de profil, et je voyais la queue rentrer, sortir, puis re-rentrer dans sa vulve. Quand il a senti qu'il allait jouir, le gars a arraché sa queue, dilatée d'avoir été en elle, et il a fait deux ou trois aller et retours de sa main sur sa queue pour faire jaillir son sperme sur la croupe ronde et ferme, que sa femme lui offrait. Il y avait eu aussi cet autre moment, qui m'avait bien troublé, quand un soir, ils étaient dehors, en plein été, et alors qu'ils me semblaient vraiment visibles, en tout cas, moi, je la voyais, elle. Il lisait, installé sur un fauteuil de jardin. Elle était venue se poser au-dessus de lui, écartant son slip, venant le caler dans son aine, et elle avait guidé sa queue vers les lèvres de son sexe. Visant bien, elle avait fait rentrer le gland en elle, avant de se laisser tomber sur lui, et d'avaler totalement la queue, disparue en elle. Ca m'avait terriblement troublé de la voir bouger sur lui, faisant ressortir la queue puis l'avalant à nouveau en elle. Elle se masturbait en même temps, appuyant sur son gland clitoridien. Elle avait fini par sortir sa queue de lui, et l'avait collée contre son ventre. Deux secondes plus tard, il éjaculait, crachant jet de sperme sur jet de sperme, montant haut au point d'atterrir sur son visage. Et puis j'avais pris la route. J'avais bien sûr la chance d'avoir des vacances, mais je ne la voyais qu'épisodiquement. Et passé cette première période, je ne les avais plus vus faire l'amour. J'admirais pourtant toujours autant sa féminité, aussi soignée que troublante. Et le temps avait glissé. Elle était devenue autre. Et pourtant, à en juger par ce que je voyais, elle n'avait rien perdu de sa capacité à troubler un homme. Moi, en tout cas, elle me troublait. Ce qui m'intriguait, depuis que j'étais arrivé, c'était que je n'avais pas aperçu son mari. Aux dernières vacances, je l'avais croisé. Et là...En plus sa voiture n'était pas là. Je redoutais le pire. Un coup d'oeil sur les avis de décès locaux m'avait laissé penser qu'il était encore vivant... Le lendemain, sur le coup de midi, il s'est trouvé qu'on est rentrés au même moment. Je me suis garé, et j'ai traversé la rue pour aller la voir. Quand elle est descendue de voiture, j'ai eu une vision qui m'a troublé. Elle avait des cuissardes de velours noir, qui enveloppaient ses jambes, également parées de bas stay-up qui montaient quelques centimètres plus haut que les cuissardes, et je pouvais voir aussi un sous-vêtement du même rouge, tendu par son sexe. Etait-ce mon regard ou bien, même en ayant changé, gardait-elle le même sex appeal ? Elle est descendue de voiture, et m'a fait un grand sourire. Elle avait une robe noire, toute simple qui soulignait nettement qu'elle avait encore un corps impeccable. Je me suis vu soulever la robe et venir sur elle de la bouche et des doigts. -Je sais que tu t'es installé il y a peu, mais on n'a pas eu encore l'occasion de se parler. Tu vas bien? -Ecoute, je démarre une nouvelle vie. Et je suis content d'être un peu chez moi. Et toi? -Je fais de l'aide à domicile actuellement. -Je ne veux pas être indiscret, mais... Elle a compris tout de suite. -Phillipe? Oh, rassure-toi, il va très bien. Je l'ai simplement foutu dehors. J'avais totalement confiance en lui. Tu sais ce qui s'est passé? Il y a trois mois, je suis descendue à la mairie un soir. Je voulais refaire ma carte d'identité...Tu te souviens que mon mari est maire adjoint? -Je n'ai pas oublié. -Je l'ai trouvé avec la secrétaire de mairie. -Vu son rôle, ca ne me semble pas anormal. -Tu vois qui c'est la secrétaire, Stéphanie? -Oui, je me souviens d'elle. -Elle a de très gros lolos. Plus gros que les miens en tout cas. Au moment où je suis arrivée à la mairie, elle avait enlevé son pull, et son soutien-gorge, et elle était seins nus. Et j'ai pu constater qu'effectivement, elle a deux gros seins, et qu'ils sont bien fermes encore. Elle les tenait par en dessous. -Et ton mari? -Il avait sa queue fichée entre ses seins, et il la faisait bouger dans un mouvement de va-et-vient. -Ah oui, carrément, une cravate de notaire... Je me suis senti un peu gêné, et en même temps l'incident m'amusait. -Oui, une bonne cravate de notaire...Et je peux te dire qu'il y prenait du plaisir, et qu'elle ça la ravissait aussi. -Et alors? -Je suis arrivée au moment où il allait jouir. Elle n'a pas pu s'empêcher de sourire. J'ai compris pourquoi quand elle a continué de développer son propos. Tu vois la scène? J'arrive devant l'immense salle. C'est elle la première qui s'est rendue compte de ma présence. Elle avait la bouche ouverte, attendant certainement qu'il jouisse. Elle a redressé la tête, pour me regarder, avec un mélange de surprise et de panique. Et là, ça a été la catastrophe. Frank a commencé a jouir, et son sperme au lieu de finir dans sa bouche est parti sur son visage. Tu me diras que c'est pas si grave en soi, mais elle s'en est pris dans les yeux. Et le sperme, c'est acide...Elle s'est mise à glapir, portant ses mains à son visage. -C'est pas possible, ça brûle... -Va te mettre de l'eau sur les yeux. Ce crétin s'est rendu compte à ce moment-là que j'étais là. Il est devenu blême. -Ecoute, ce n'est pas ce que tu crois... -Non effectivement, je dois me tromper. Je parrie que tu vas me dire que tu signais des papiers avec ta queue...Et là, plaf, l'accident bête...Le stylo qui fuit...Je pense que ce soir, ce ne sera pas la peine que tu reviennes à la maison. Ni demain. Il est quand même revenu chercher des affaires. Il m'a laissé la maison et il a pris une bonne partie de l'argent sur le compte commun. On p asse devant le juge la semaine prochaine...Bon, je ne vais pas t'ennuyer avec tout ça... -Ah je suis navré pour toi... -C'est moi la plus navrée...Surtout quand j'ai appris qu'il me faisait cocue depuis le mariage et même avant. Il n'a jamais arrêté. Et tout le monde le savait sauf moi. Et là elle s'est mise à pleurer. Je ne saurai pas dire qui est venu vers qui. Si c'est elle qui est venue vers moi ou si c'est moi qui ai avancé vers elle. Toujours est-il qu'elle a été contre moi, que j'ai senti son épaisseur, sa chaleur contre moi, le poids de ses seins contre mon torse. J'ai passé mes bras autour d'elle, en priant pour qu'elle ne sente pas la réaction, sans doute naturelle, que ça me provoquait de la sentir contre moi. Je ne sais pas si ça lui a apporté du réconfort. J'ai pensé que c'était il y avait trente-cinq ans que j'aurais aimé la tenir comme ça...Mais peut-être fallait-il que ce soit le bon moment. Est-ce que c'était le bon moment, là? Je ne savais pas trop. Notre jeunesse s'était dissoute.. Pourtant, elle restait remarquablement séduisante. Elle n'avait plus la fraîcheur de la jeunesse, c'était une évidence, et moi non plus, mais la maturité d'une femme qui avait su non seulement préserver sa sensualité, mais aussi sans doute la porter à un autre niveau. J'avais du mal à comprendre que son mari ait eu envie d'aller voir ailleurs. D'autant que la secrétaire de mairie n'avait rien d'une vamp, avec son extraordinaire vulgarité et ses kilos en trop. Ca c'était certain, elle avait deux seins énormes, et pour quelqu'un qui fantasmait sur les poitrines... Ce qu'elle me disait me surprenait en tout cas. Qu'il ait été voir ailleurs alors même qu'ils venaient de se marier... Danyelle était hyper attirante, et surtout, pour autant que j'avais pu le voir, contrairement à bien des femmes, elle ne se refusait pas à lui et ne refusait pas de lui donner du sexe...Au contraire...C'était l'épouse rêvée pour un homme qui aime vraiment le sexe. Elle a fini par se détacher de moi. -Merci pour ce moment de réconfort. Pardon, mais je n'ai pas bien vécu la chose. Je lui ai donné tout ce qu'il voulait. Il avait ma bouche, mon cul et ma chatte quand il voulait. Je me suis toujours occupée de sa queue. -Les hommes se lassent vite... -Oui....Bon n'en parlons plus, c'est du passé. Dis-moi, tu fais quelque chose ce soir ? -Ce soir? Non, rien de particulier. -Ca te dit de venir diner à la maison ? Je cuisine plutôt bien...A moins que tu ne sois invité ailleurs... -Non, et je suis seul en ce moment. -Tu viens quand tu veux. A partir de 19 heures. -Je serai là. J'allais m'éloigner, quand elle m'a dit -Attends, je voudrais te dire merci. Elle est revenue vers moi. J'étais plus grand qu'elle mais avec ses talons et un petit effort, elle a atteint sans mal ma bouche. Elle a pris mes lèvres, pour un baiser qu'elle a fait durer. En même temps, elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, de deux mains habiles. J'ai juste senti que ma queue était à l'extérieur de mon pantalon. Son geste ne m'a pas surpris tant que ça. Ca me renvoyait dans ce passé lointain et proche à la fois. Je l'avais vu un nombre incalculable de fois masturber son mari...Que ca n'avait pas empêché d'aller voir ailleurs... Comme tous les hommes, même si beaucoup ne l'auraient pas forcément avoué, j'aimais me faire masturber. C'était un plaisir très fort que de sentir une main de femme sur soi, qui vous menait au plaisir. Elle a continué de m'embrasser en même temps qu'elle faisait aller et venir sa main, d'un rythme régulier, sur ma queue. Elle frottait sa langue contre la mienne, et la conjonction des deux plaisirs m'a mis très vite au bord de l'orgasme. Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a resserré sa main autour de ma queue, et elle a recueilli tout mon sperme, alors que, spasme après spasme, je me vidais dans cette main chaude qui m'enserrait. De sa main libre, elle a rangé ma queue dans mon pantalon, pendant qu'elle ouvrait l'autre, dans laquelle nageait une mare de sperme, Avec un sourire, elle est venue laper mon sperme jusqu'à ce que sa main soit parfaitement propre. Je l'ai revue faisant le même geste en d'autres temps, ou masturbant son mari devant sa bouche ouverte, laissant le sperme remplir sa bouche jusqu'à la dernière goutte. -Tu vois ce salaud, j'ai bouffé son sperme, il en a rempli ma chatte et mon cul, et ca ne lui suffisait pas... J'ai eu envie de faire un trait d'humour, lui répondre qu'il avait de grosses réserves, mais j'ai préféré me taire. J'ai eu la tête ailleurs tout l'après-midi, pensant à son baiser et à sa caresse. Dommage qu'on ne se soit pas connu avant qu'elle ne rencontre son mari...J'aurais eu une vie différente, avec une femme chaleureuse, intelligente, et qui aimait le sexe. Si longtemps après je retrouvais la jeune femme que j'avais pu mater, mais aussi cotoyer, même si c' avait été brièvement...Mais à ce moment-là, ma vie aurait été totalement différente. Un mal? J'aurais fait autre chose. Ca donnait le vertige quand on pensait qu'à partir d'un croisement, on pouvait partir sur mille routes différentes, avec mille parcours différents. Je ne savais pas trop ce que je devais attendre de la soirée. Même si ce n'était qu'un dînea, je savais qu'elle cuisinait très bien, ainsi qu'une longue discussion, ce serait déjà bien...Elle était très agréable...Je n'attendais rien de précis d'ailleurs...Elle m'avait déjà donné un moment de plaisir intense quand elle m'avait embrassé, et qu'elle avait caressé ma queue. J'avais appris au fil des années que peu, c'était déjà beaucoup. J'ai acheté un bouquet de fleurs en revenant, des roses rouges, de taille moyenne, serrées dans le bouquet, et, sur le coup de huit heures, je me suis présenté à sa porte. Je n'ai pas été déçu, c'est le moins qu'on puisse dire. Elle s'était préparée comme une femme peut se préparer pour une soirée. Elle s'était maquillée, un maquillage qui soulignait la finesse de ses traits. Le temps avait su la préserver. Les crèmes aussi. Elle avait une belle paire de cuissardes, noires, d'un cuir qui luisait, et elle avait mis des bas stay-up, qui se prolongeaient un peu plus haut hors des cuissardes, prenant sa chair et s'y accrochant avec une bande élastiquée noire. Sa robe...Je n'en avais jamais vue une pareille. J'avais l'idée, je me trompais peut-être, qu'on ne devait pas la trouver dans la boutique au coin de la rue, mais plutôt sur certains sites spécialisés. Elle était en tout cas impressionnante. Et on ne peut plus simple. Elle était faite fans un plastique entièrement transparent, plutôt épais, et fermée par une fermeture à glissière qui faisait toute la longueur de la robe. Dessous elle n'avait rien, même pas un string. L'occasion de profiter de son anatomie comme ça n'avait pas été le cas depuis longtemps. Le plastique enserrait ses chairs sans trop les comprimer mais en les réhaussant. Elle m'a laissé la regarder. Elle n'avait pas vraiment changé avec tout ce temps. Aussi désirable que quand elle étendait le linge en maillot de bain. Ses seins, peut-être parce qu'ils étaient tenus par le plastique étaient fermes et bien ronds contre le plastique. Elle avait gardé un triangle assorti à ses cheveux sur son pubis, mais miniaturisé. Je me suis demandé si elle se teignait ou si elle avait encore les cheveux naturellement noirs. Elle a tourné sur elle-même, me présentant aussi ses fesses, rondes et fermes. Difficile de ne pas la désirer. -Ca te plaît? Je l'ai achetée par correspondance il y a deux ans, mais je n'avais pas eu l'occasion de la mettre avant. J'intéressais de moins en moins mon mari ces derniers temps. Je pensais qu'il y avait forcément une usure dans le couple. Je n'avais pas compris que sa queue fonctionnait toujours parfaitement, mais qu'il allait la mettre dans d'autres culs que le mien. -Je te trouve très amère. -Ca passera avec le temps. Ca ne nous empêche pas en tout cas de passer une soirée sympa. Alors si tu me parlais un peu de ce que tu as fait toutes ces années? On s'est posés sur le divan, avec un verre de vin. C'était bien cette robe, ca me permettait de la voir sous toutes ses coutures, ma vision changeant quand elle bougeait. Elle était toujours aussi désirable. -Le rôti doit être cuit, je pense qu'on va passer à table...Dis-moi, avant, ça te dit de profiter de moi un peu? De quelques centimètres. Par le haut ou par le bas? Lisant de l'incompréhension dans mon regard, elle m'a précisé -Il y deux tirettes, une qui descend et l'autre qui remonte. Difficile de choisir. J'ai finalement opté pour le haut. Voir ces seins, ça me rappelait la fois où son mari était venu les prendre avec sa bouche. Je ne voulais pas marcher sur ses traces plutôt laisser les miennes, mais ça m'avait excité, et j'avais rêvé d'en faire autant. J'ai glissé de quelques centimètres vers elle, et je suis venu chercher sa bouche, qu'elle ne m'a pas refusé. On a échangé plusieurs baisers longs, nos langues s'accrochant, se frottant, avant que je n'attrape le petit morceau de métal, pour le descendre de quelques centimètres. Sa robe ne prenait pas ses épaules, l'enveloppant à partir du torse, et j'ai écarté un peu le plastique pour avoir accès à ses seins. Était-ce en frottant contre le plastique, à cause de l'excitation ou les deux que ses tétons étaient devenus semi-durs ? Ce qui n'avait pas changé avec le temps, non plus, c'était le plaisir qu'une caresse buccale pouvait lui donner. J'ai commencé très soft, en donnant de petits coups de langue a lâché de petits gémissements en se cambrant. -Mmmm, c'est bon...Tu sais à la fin, il ne me faisait plus rien de tout ça...Il le faisait à d'autres femmes. Quand j'allais le chercher, il me demandait toujours de me caler en levrette, il venait en moi deux ou trois fois, il jouissait, et c'était tout. Il ne se souciait pas de mon plaisir. Je ne sais pas d'ailleurs s'il s'en est jamais soucié. J'avais noté. Si on allait plus loin, la levrette était totalement à proscrire. Pour l'instant, j'avais enveloppé son téton gauche de ma bouche, et je le caressais doucement de la langue. Je l'ai senti, ou alors c'était une fausse impression, gonfler dans ma cavité buccale, s'allonger et s'épaissir. En tout cas, ça lui faisait de l'effet. Quand je suis passé sur l'autre téton, j'ai gardé contact avec le premier en le caressant avec la pulpe de mes doigts. -J'ai toujours pensé que tu pouvais faire un amant parfait. Dommage que ça arrive si tard. Allez viens, on va manger, je t'ai préparé un bon repas. J'ai remonté la fermeture-éclair. J'aurais d'autres occasions de la descendre. Elle a développé son propos pendant qu'on mangeait. -Il paraît que c'est une situation plus commune qu'on ne pourrait penser. Tu te maries, et puis tu croises quelqu'un qui te plaît. C'est exactement ce qui s'est passé quand je suis arrivée ici. Je t'ai vu, et je me suis demandée ce que je faisais avec mon mari. Vraiment le coup de foudre, et je ne suis pas sûre que je l'avais expérimenté avec lui. On se connaissait depuis longtemps, en fait, depuis l'école, et c'était un peu naturellement qu'on s'était mis ensemble. Je ne suis pense pas au final qu'on s'aimait. -Je n'avais pas imaginé que...D'autant qu'on ne se parlait pas spécialement... Et c'était vrai. Si j'y repensais, j'avais passé bien plus de temps à la mater qu'à échanger avec elle, dans la rue, devant chez elle ou chez moi. Je comprenais mieux en tout cas pourquoi elle se baladait si souvent en maillot. L'envie de m'aguicher. J'en arrivais même à me demander si, quand elle s'exhibait avec son mari, ce n'était pas aussi quelque chose de calculé. Dont il n'aurait pas été conscient. C'était en tout cas très paradoxal qu'elle lui reproche une infidélité bien réelle, alors qu'elle avait été tentée de le trahir avec moi. Aurait-elle été jusqu'au bout, ou était-ce juste un fantasme... -Je te trouvais magnifique...Mais j'avais le sentiment que rien n'était possible à l'époque. -Ce n'était pas le moment. Ca l'est peut-être maintenant. On venait de finir le plat principal. Il restait le dessert. J'ai eu le sentiment que les desserts,j'allais en avoir plusieurs. Elle est venue se poser juste devant moi. -Et si tu attaquais par le bas. J'ai fait comme elle le souhaitait. Remontant la fermeture-éclair pour accéder à son ventre plat. J'ai entamé un mouvement circulaire dessus, qui a semblé lui procurer du plaisir. Elle a fini par me dire -Descends sur ma fente...Tu vas voir que malgré la ménopause, une femme peut encore mouiller. Je me suis arrêté à la hauteur de ce triangle, réduit à sa plus simple expression, goûtant à la sensation de la texture soyeuse de ses poils. Une pause avant d'aller plus loin, peut-être parce que j'appréhendais des sensations fortes. J'ai finalement glissé sur sa partie la plus intime. Un monde à découvrir, fait de sensations qui m'ont assailli. Le renflement naturel de sa vulve, l'ouverture au centre, dont dépassaient ses lèvres que j'ai senti gonfler contre mes doigts, et effectivement son liquide intime qui coulait d'elle et qui est devenu plus abondant quand elle a senti ma main contre elle. Je l'ai caressée doucement. Elle s'est mise à se tordre, comme si tout avait tourné autour de cette main, entamant un mouvement qui a stoppé le mien, se caressant elle-même, yeux mi-clos, dans des mouvements doux, lents et circulaires. -Il y a trente-cinq ans c'est ta main, ta langue et ta queue qu'il m'aurait fallu au lieu de celle de mon mari... -On ne peut pas refaire le passé...Mais on peut quand même profiter du temps qui nous reste. Elle a tendu sa main vers mon pantalon et elle est venue chercher ma queue, comme elle l'avait fait à midi. -Je savais que tu me matais, mais moi aussi. Tu sais que de l'étage du hangar je voyais parfaitement chez toi. Je t'ai vu plusieurs fois te masturber. Ca me mettait dans tous mes états. Tu pensais à moi? -A ton avis? -Si je me souviens bien une fois allongé, une fois debout. Ta main bougeait sur ta queue. Je la voyais prendre de la vigueur. J'étais trempée. Je t'ai vu jouir deux ou trois fois. C'est beau une queue ultra-dilatée qui crache sa sais que je me caressais après en pensant à ces scènes. Tu vois, ça marchait dans les deux sens, dans un jeu de miroir qui n'en finissait pas. Elle m'a masturbé doucement avant de me dire -J'ai envie d'un premier dessert avant l'omelette norvégienne...Elle peut attendre encore un peu. Elle a remonté sa main vers la fermeture-éclair du haut et elle l'a descendue pour libérer ses seins. Je me suis demandé où elle voulait en venir. Enfoncé entre ses seins, et c'est pour cela que je ne l'avais pas vu, il y avait un préservatif emballé d'aluminium. Elle a déchiré l'emballage, a sorti le latex tout gluant et elle l'a fait coulisser sur ma queue. Quelques ajustements pour dégager le réservoir. Elle a remonté la fermeture-éclair un peu plus, avant de venir se placer au-dessus de moi. Elle a attrapé ma queue pour ne plus la lâcher. Je pensais qu'elle allait simplement la faire rentrer en elle, mais ça a été tout sauf ça. Elle voulait sans doute me montrer un savoir-faire dont je n'avais douté, clair 37 ans plus tôt. Elle a amené mon gland encapoté sur les lèvres de son sexe, luisant du liquide qui coulait d'elle, et elle s'est mise à me promener sur le relief de ses chairs intimes. Une caresse lente, qui prenait son temps et me permettait d'apprécier les sensations. C'était exactement le genre de chose que je l'avais imaginée faire. Son jus, épais, sirupeux coulait sur le latex, dégoulinait le long de ma queue pour venir se perdre sur ma chair. Un moment intense, avec une pointe de regret, on se connaissait, mais qu'on ne se soit pas rapprochés plus tôt. Du temps perdu. Mais parfois, il faut attendre pour que les choses se réalisent. Mieux vaut tard que jamais, comme on dit. -J'ai envie de te prendre dans mon sexe. Tu crois que c'est possible? -A ton avis ? Ca s'est fait très simplement. Elle s'est laissée descendre sur moi, avalant mon sexe petit à petit. Les sensations m'ont peu à peu gagné. La chaleur de son sexe, son humidité autour de moi, mais surtout la merveilleuse sensation d'être enveloppé par une gaine souple et extraordinairement caressante. -Si on veut rattraper tout le temps perdu, il va nous falloir beaucoup de moments de sexe. -Je suis tout à fait prêt à partir dans ce sens. -Mets tes mains sur mon cul et fais-moi bouger sur ta queue. Ses fesses étaient rondes et bien dures. Je les ai prises à pleines mains, et je l'ai faite aller et venir sur ma queue. Elle s'est mise à gémir. -Une bonne queue qui te caresse bien à l'intérieur, il n'y a rien de meilleur. Il y a eu ce moment vraiment hors du temps, et d'autant plus hors du temps qu'il faisait se rejoindre passé et présent et futur. Il y avait le moment présent, le plaisir intense, le passé, celui que nous avions loupé, mais curieusement, une étrange métamorphose faisait que, dans notre esprit, nous étions redevenus les jeunes adultes que nous avions été et qui se trouvaient, et un futur possible ensemble, celui que nous avions loupé 35 ans plus tôt. Pendant que je la fouillais, elle s'est mise à se pincer le gland clitoridien, qui semblait plus épais et plus long à chaque nouveau pincement. Au bout d'un cycle, je me suis mis à jouir, mon sperme, bien que prisonnier dans l'enveloppe de latex, venant taper contre les parois internes de son sexe. Sentir le sperme jaillir l'a faite jouir. Elle est restée accrochée à moi avant de se dégager. Elle a fait glisser la capote de long de ma queue. -Je vais chercher l'omelette norvégienne. Elle a remonté les deux fermetures et elle est partie, un rien titubante, comme si elle était ivre, en direction de la cuisine. Elle est revenue avec la fameuse omelette et le préservatif toujours accroché aux doigts. Elle a coupé deux bonnes tranches d'omelette. Sur la sienne, elle a fait couler jusqu'à la dernière goutte la semence que contenait la capote. -Ca aura meilleur goût comme ça. Pendant qu'on mangeait, elle a dit -Je te propose de m'accompagner au lit. Tu peux rester jusqu'à matin si tu veux. Tu dois te lever à quelle heure? -Il faut que je sois prêt pour huit heures. -Moi aussi. Bon, c'est parfait, on prendra le petit déjeuner ensemble. J'aimerais bien que ce ne soit pas une nuit unique. -Je ne le souhaite pas non plus. -Alors tout peut commencer. Pendant que finissais, elle est venue se pencher sur ma queue, que j'avais laissée à l'air et qui n'avait pas dégonflé d'un millimètre. Elle a fait tourner sa langue dessus. -Je suis une amante imaginative et sans tabous. -C'est toujours ce que j'ai imaginé. On est partis ensemble vers sa chambre, conscient l'un comme l'autre que quelque chose de nouveau commençait pour nous qui serait peut-être meilleur que tout ce qu'on avait pu vivre de par le passé.
Latrentaine, elle ressemble à une mademoiselle tout le monde, et c’est finalement ce qui fait tout son charme. Étendue sur son lit, elle glisse une main dans sa petite culotte et commence à caresser son sexe bouillant. Le plaisir la submerge, elle retire le haut miam, une belle peau laiteuse et une poitrine naturelle.
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  • il lui met la main dans la culotte