Programme TV /FilmoTV en direct /La mort vous va si bienDisponible dans une option payanteFilms - Comédie - FilmoTVdans 5 joursObsédée par son vieillissement, une chanteuse sur le retour accepte de payer le prix fort pour accéder à l'éternité, un rêve jusqu'alors inaccessible...Obsédée par son vieillissement, une chanteuse sur le retour accepte de payer le prix fort pour accéder à l'éternité, un rêve jusqu'alors inaccessible...Télécharger Molotov pour regarder la TV 5 joursFilms à regarder sur FilmoTVTélécharger Molotov pour regarder la TV gratuitement.
Finalementc’est Robert Zemeckis qui en a assuré la mise en scène. Il venait alors de triompher avec Forrest Gump, mais avait précédemment multiplié les succès et témoigné de son goût pour les effets spéciaux qu’il s’agisse de sa trilogie Retour vers le futur ou de sa comédie fantastique La Mort vous va si bien.Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 2,7 160 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné 31 critiques spectateurs 5 2 critiques 4 4 critiques 3 11 critiques 2 8 critiques 1 3 critiques 0 3 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés par le realisateur de contrebandeLe tournage débute le 1er juin 2021 en Afrique du Sud. Les prises de vues ont notamment lieu dans les provinces de Limpopo et Cap-Nord ainsi que dans la ville du CapAucune scène incluant des lions et des humains n’a été tournée avec de vrais félins. Des images d’archives de vrais lions ont été utilisées pour illustrer le film. Que ce soit le lion autour duquel s’articule l'histoire ou les autres, tous ont été créés lion sanguinaire de Beast, conçu de toutes pièces en animation numérique, a présenté un défi de taille compte tenu du fait que les acteurs et l'équipe technique avaient besoin, pendant le tournage, de la présence physique de l'animal pour avoir une référence de jeu production est restée très vigilante quant à la protection de l’environnement du tournageSi les films avec des animaux tueurs abondent depuis Les Dents de la mer 1975, ceux mettant en scène des lions assoiffés de sang humain ne sont pas nombreux. La référence en la manière est sans nul doute L'Ombre et la proie 1996, dans lequel Michael Douglas et Val Kilmer sont confrontés à un fauve mangeur d' se veut très clair sur la raison pour laquelle le lion s’en prend ainsi aux humains. En plus d’être terrifiant de par les enjeux de vie, de mort et de souffrance qui sont explorés, le film est un pamphlet en faveur de la nature et du fait que notre devoir est de la protéger ainsi que les créatures qui y conseil respecter la nature ou la nature se retournera contre vous Je sais pas pour vous mais j'ai l'impression d'avoir déjà vu ce film 100x, tous les codes des Blockbuster américain des années 2000 sont réunis - Un acteur vedette Bankable sur lequel on fait peser la réussite commercial du film - DES scènes d'actions, des paysages a couper le souffle - Une histoire dramatique faisant que les personnages ont un "sombre passé"Bref tout y est, au final le film est court et heureusement, l'intrigue tiens sur 2 pages, il n'y a que 2 ou 3 décors durant le scènes d'actions surtout la dernière sont totalement invraisemblables et genre de film que je vais voir par plaisir coupable du fait que j'ai un abonnement cinéma illimité mais par pitié, ne payez pas 12e50 pour voir ça. Il existe 1000 autres versions de ce film à centimes en VOD. Je ne m'attendais pas à grand chose mais Beast » a réussi à me tenir en haleine et s'avère quand même efficace. L'histoire est simple, on en a déjà vu du même genre, mais la courte durée du film fait que ça ne s'étale pas en longueur. C'est dynamique, avec de beaux paysages et des petits sursauts de temps en temps. Il y a fort heureusement un message véhiculé également contre le braconnage et pour la protection des animaux sauvages. Un bon divertissement mené par Idriss Elba. Comment dire... Quand vous avez un lion féroce qui a déjà dévoré les habitants d'un village entier dans le même périmètre, vous sortez de votre voiture, vous ? Vos enfants sortent aussi et partent en goguette ?C'est l'audace à laquelle s'est essayé le réalisateur. Dans ce film on part dans la nuit, seul dans la savane pour chercher un ami blessé, le tout sans arme. On se laisse donner des leçons de morale niveau sitcom par ses enfants en plein milieu d'une chasse à l'homme, où le lion est pourtant assez véhément... on ne ferme pas les portes des maisons, les pick up sont ouverts. Cohérence niveau enfants de 2 de scénario, de construction d'un récit un minimum crédible, problème de dialogues d'une terrible pauvreté auxquels pourtant le réal semble avoir attaché de l'importance les blablas sur la thérapie familiale sont aussi longs que les scènes d'action, pourtant le réalisateur est islandais, pas hollywoodien, cherchez l'erreur...Un lamentable bide, dommage quand on aime les lions fous furieux. Habitué au thème de la survie Survivre, Everest, A la dérive, Baltasar Kormákur en remet une couche et s’envole vers l’Afrique du Sud, pour se confronter non pas à la solitude ou à un monstre de glace, mais bien un animal sauvage, dont on reconnaît les penchants territoriaux. Les adeptes d’adrénaline et de tension bestiale seront servis, car le film possède du mordant là où on aurait pu l’attendre comme une mauvaise série B L’ombre et la proie, voire Z Prey. On en ressort avec un sentiment d’efficacité comme on en voit peu dans le paysage du survival. Soit on se cantonne à une introspection silencieuse, soit on explose tout dans des artifices grossiers et qui ne valent plus grand-chose sur les propos initiaux. Ici, un juste milieu se dévoile, en toute trame évidemment prévisible nous saute à la gorge, mais le cinéaste islandais se sert justement de la chronologie, connue du public et resserrée sur à peine une journée, pour y développer la rage d’un lion meurtri par le braconnage. Malheureusement, on ne fera pas rien de plus pertinent qu’un récit de vengeance pour ce dernier, qui a décidé de traquer et de tuer tous les bipèdes de notre genre sur sa route. Le plan-séquence d'ouverture sera ainsi annonciateur de tout ce qui arrivera, où les muscles seront mis de côté pour une approche plus sensible, liant chacun des protagonistes à la mort. D’un côté, nous avons un lion, face à son échec et qui se nourrit de sa rage, plus que de la viande de ses victimes. De l'autre, nous avons un père de famille Idris Elba, également meurtri par la disparition d'une femme qu'il n'a pas su protéger de la mort elle-même. Le combat de Nate engage ainsi sa responsabilité de mâle alpha, dans une famille dans le besoin et qui ne demande qu'à prospérer plus longtemps que d' l’on connaît ainsi tous les filons, il ne reste que le suspense à entretenir et cela passe essentiellement par de longues séquences, qui collent aux survivants d’une attaque. La pression monte ainsi au rythme d’une résolution de deuil, dont les rêves se révèlent dispensables. Le charisme du comédien britannique et la relation que son personnage noue avec ses filles adolescentes Iyana Halley et Leah Jeffries montrent déjà les signes d’une reconstruction. En revanche, ce qui ne se soigne pas aussi vite, ce sont bien les blessures de la chair, là où le spectacle nous amène de scène en scène et nous invite à croquer dans la captation d’une créature trop énervée pour s’échanger des câlins avec Martin Sharlto Copley, ami de la faune et de la nature, ou quiconque d’ailleurs. Cette lutte intime, qui doit convaincre Nate d’assumer son rôle de protecteur, voile pourtant la position du prédateur et de ses victimes. Certes, se retrouver au cœur d’une folie vengeresse n’arrange rien, mais difficile de croire en un mal que l’on ne peut pardonner. Beast » est une réussite par bien des égards, dans son esthétique bluffant et qui donne droit à un climax nerveux et habité. Ses défauts ne sont pas à plaindre, malgré quelques scènes qui peuvent friser le ridicule. Les conflits se résolvent ainsi dans des péripéties d’allers-retours, entre les griffes et les crocs d’un gros chat un tantinet rancunier, mais cela ne sera pas pour déplaire au spectacle vivant qui place une famille au bord du gouffre, à coopérer. Leurs démons sont devant et derrière eux, mais mieux vaut se concentrer sur celui qui peut vous transformer en escalope. Un petit plaisir qui nous tend ainsi la patte, pour mieux pour empaler avec l’autre. De "Survivre" à "À la Dérive" en passant par "Everest", l'islandais Baltasar Kormákur semble construire une bonne partie de sa filmographie autour de la notion de survie, plaçant toujours ses héros dans la solitude d'une épreuve où les caprices de Mère Nature font le plus souvent office d'exutoire à leurs propres blessures intimes. Et c'est donc sans surprise que "Beast", nouvelle variation de l'obsession du cinéaste en mode survival animalier, prend évidemment ses racines sur un postulat similaire, plaçant cette fois la reconstruction d'une famille déchirée par un deuil au cœur d'une confrontation avec un lion rendu lui-même ivre de douleur et de rage par l'ignominie des hommes. Après une exposition dissimulant à peine sa volonté d'aller à la plus rapide présentation du chagrin qui anime ce pèlerinage sud-africain de ce père et ses deux filles sur les traces de leur épouse/mère disparue, "Beast" en restera forcément à quelque chose de très sommaire du côté de l'évolution relationnelle de ses protagonistes dans l'adversité l'inévitable temps mort où chacun exprime sa rancœur à l'autre malgré l'omniprésence du danger sera bien sûr de la partie mais, en dépit de leurs raccourcis rudimentaires, ces développements sauront toucher au plus simple pour créer un minimum d'empathie vis-à-vis de ces personnages très vite menacés par les crocs du fauve avoir les épaules solides d'un Idris Elba et d'un Sharlto Copley dans l'équation est aussi un support indéniable, voire même parfois en faire ressortir un ou deux moments étonnamment bien pensés la divagation onirique d'un père brisé par le chaos de la situation par exemple.Passons donc sur la rédemption attendue de ce paternel obligé de se dépasser à tous les niveaux face à une créature ayant basculé du côté obscur, sur l'opposition basique de reproches de ses filles à son égard ou sur les agissements un brin aléatoire de ces dernières devant le danger les coups de génie courageux se disputent à la bêtise irrationnelle et intéressons-nous surtout à ce qui réussit le mieux à ce "Beast" les attaques de sa grosse bêbête à crinière ! Prenant le parti pris du plan-séquence dès que le roi de la jungle enragé se met à rôder autour des protagonistes, Kormákur nous colle à chaque fois au plus près de leur perception hasardeuse de cet environnement inconnu, un sentiment de proximité immédiat s'établit ainsi avec le spectateur, l'amenant lui aussi à scruter l'écran pour déceler la direction d'où le danger pourrait surgir. Certes, le procédé n'a rien de nouveau mais le cinéaste l'utilise très souvent avec une réelle efficacité, parfois même avec un certain brio tout ce qui déroule dans/vers la voiture, afin de donner un vrai impact à chaque attaque du fauve devenue synonyme d'un fracas carnassier dans la quiétude de la savane. Dans le sillage des généreux coups de dents et pattes de son félin numérique plutôt convaincant on a vu bien pire en tout cas, "Beast" a l'idée judicieuse d'intégrer d'autres composantes de cet environnement, parfois installées en amont, pour en tirer un lot de péripéties toujours plus varié et renouveler les degrés de la menace par leur entremêlement. À ce titre, l'affrontement final en mode duel sauvage sera le parfait point d'orgue de ce si bien nommé "Beast", condensant le meilleur de la force primaire et de la ruse qu'a à offrir ce face-à-face entre l'Homme et la Bête concocté par Baltasar Kormákur. Petit survival idéal pour conclure la saison cinématographique estivale de 2022, "Beast" a le mérite de compenser certaines de ses carences les plus basiques par la bonne tenue de son exécution qui redonne toute sa férocité au roi de la jungle. Et, vu comme le fauve et ses consorts avaient été malmenés dans des oeuvres de troisième zone ces dernières années, "Beast" se place aisément dans le haut du panier des films mettant son museau face à l'Homme. Palpitant, le nouveau film de Baltasar Kormákur s'offre Idris Elba pour se jeter dans la gueule du loup..... ou du lion. Impressionnant de réalisme, on ne boude pas son plaisir devant un dernier blockbuster estival particulièrement réussi. Un médecin retourne sur les terres de son enfance l'Afrique du Sud avec ses deux filles y retrouve un vieil ami qui s'occupe d'une réserve d'une balade en jeep, les choses vont se compliquer quand un lion isolé à cause du braconnage décide de s'en prendre à leur petit groupe...Ce survival dans la savane est assez basique dans son scénario, mais diablement efficace à l'écran !Idris Elba est remarquable dans le rôle de ce papa tentant de sauver sa famille et son ami des griffes de ce prédateur devenu de scènes sont filmées en caméra subjective je ne suis pas trop fan de ce procédé parfois visuellement nauséeux, mais le rendu est ici très immersif et plutôt bon, les moments avec ce félin agressif sont d'une intensité à couper le souffle !Si vous avez aimé l'angoisse des "Dents de la mer", vous prendrez surement du plaisir dans ces "Dents de la Terre" !Puissant et incisif !Site Bonne idée de depart avec du dépaysement géographique et le fait de se faire pourchasser par un lion. Après , c’est un peu repetitif et la derniers attaque du lion pas trop credible. Un petit film qui se regarde pas si mal, assez bien tourné les scènes de combats entre l'animal et les acteurs sont très réalistes ! Sans avoir une intrigue énorme, ni un scénario très recherché, c'est plutôt plat au contraire.. Les hasards du calendrier... je retrouvais ce soir le "Colosse" d'hier Idris Elba......pour un film... Bof non pour caricaturer son titre... Scénario bien maigre, le réalisateur s'est beaucoup reposé sur les scènes animales, certes intéressantes et bien filmées, avec une sortie de route qui va pratiquement occuper tout l'espace... J'ai été particulièrement gêné par les intonations et dialogues avec les deux filles Norah et Meredith "à claquer".....! A réserver à un jeune public, qui ne tiquera pas sur les nombreuses incohérences - principalement liées aux comportements de ces "chipies" ... Belle photographie, son médiocre, l'ensemble demeure très mitigé mais je serai indulgent pour ces beaux félins !!** "Beast" est un film que j'ai bien aimé. L'histoire est intéressante, les acteurs sont dans l'ensemble plutôt convaincant et les images sont très belles. Certains moments sont répétitifs et j'ai trouvé qui y avais des facilités dans le scénario. Alors dans ce film les lions sélectionnent leurs victimes les méchants braconniers sont lacérés, étripés et bouffés tout crus, quand les gentils gardiens sont plus ou moins épargnés. Tout un programme…sans surprise. Mais bon…À noter le belle performance de la toute jeune actrice Leah Jeffries. Une sous intrigue de drame familial bâclé, des facilités scénaristiques, des incohérences, une fin prévisible, des dialogues assez pauvre dans l'ensemble, des interactions mal gérées. Si quelques éléments de tenions qui fonctionnent un peu et Idris Elba n'étaient pas là, ce film serait juste mauvais. Voir Idriss Elba dans ce genre de film qui part plus pour être un film de seconde zone qu'un film de genre ou un blockbuster...donc , partant de ce principe, j'avais un peu peur du résultat. Dans son ensemble le film tiens la route, cela part tranquillement enfin le massacre d'un groupe de lion passé... avec plein de beau paysage!!! Puis une fois l'action lancé on accorde le droit au scène improbable avec ce lion capable de piège et autre astuce pour zigouiller un max de personnes, passons les branlos qui sont incapable de toucher le lion avec des fusils mitrailleurs and co. Le film à une certaine tension qui fait qu'on tiens en haleine mais le gros MAIS euh le scène de fin??? Oh c'est pas Heimdall mais un docteur contre un molosse de 1 tonne et de près de 2m!!!!! Alors il égorge, lacère des types armé et lui ben il lui chope la guibole mais cha va je marche , il le chope à l'épaule avec des traces de griffures ben ouais ok de temps en temps je fais genre que cela pique et le summum le combat contre le fauve armé d'un couteau...mon dieu le lion le balance, l'écrase, le mord, le griffe mais en vie en attendant l'arrivé de....vous verrez mais franchement tellement énorme que cela gâche le film et pas qu'un peu...dommage...NOTE Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
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